vendredi 25 septembre 2009

NeoGaming

Bonjour à tous, le site Neogaming ouvre bientôt ses portes, d'ici moins de deux semaines vous pourrez explorer son contenu...

Je compte sur vous !
Rem

critique cinéma : Jumper





Voici un film qui met en scène le pouvoir de téléportation, un luxe qui nous rendrait bien service à tous, réduire un trajet de 8h ou plus à moins de dix secondes, on en rêverait tous ! Là où Jumper a le plus d’intérêt, c’est dans ses effets spéciaux et le fameux don, l’histoire est correcte, mais ce n’est pas elle qui fait le film.

Scénario

Tous les éléments sont posés dès l’introduction, on voit le héros (David Rice) se faire un petit pique-nique sur la tête du Sphinx puis il nous explique ses capacités. Comme quasiment dans tous les films de super héros, c’est par inadvertance et pour sauver sa peau que David découvre son pouvoir. C’est en faisant mauvais usage qu’il finit par se faire remarquer par une organisation décidée à supprimer tous ceux étant comme lui, on les appelle, ou plutôt les Jumpers les appelle les « Paladins ». Le suspense n’est pas colossal puisque la première confrontation arrive peu de temps après le début du film.

Jeu des acteurs

Dans ce film, il y a vraiment trois personnages importants, David Rice évidemment, qui n’est autre que le héros du film basculant un peu du côté obscur, ça doit lui coller à la peau puisque son interprète est Hayden Christensen qui a joué notamment le très connu Anakin Skywalker (Star Wars). Samuel Jackson jouera le grand méchant Roland avec des cheveux tout blancs, je ne saurais dire si ça lui va ou pas… Et enfin, Jamie Bell sera un autre Jumper pas très sociable, profitant de son talent pour se fournir à l’œil en jeux vidéo, matériel Hi-Tech et autres choses utiles ou pas.

Réalisation

Les effets des téléportations sont tout simplement explosifs, on ressent vraiment la puissance qui se dégage de chacune d’elles grâce aux bruitages déjà, mais aussi avec les différents bris de pierre et autres trombes d’eau qui accompagnent souvent les Jumpers lorsqu’ils utilisent leur don. On devine aussi par moment les portails qu’ils créent pour se téléporter sous un aspect cristallin, franchement c’est vraiment superbe, on voit qu’il y a eu un vrai travail et tout est très détaillé. Les plans du début et ceux des combats entre deux Jumpers sont impressionnants, on les voit traverser moult régions et paysages différents si rapidement que ça donne le tournis…

La suite ici

jeudi 24 septembre 2009

critique cinéma : Chouchou




« Chouchou » est tout de même un bon divertissement pour toute la famille, une comédie qui se laisse regarder. Gad Elmaleh apporte bien sûr beaucoup au film, sans sa présence et ses multiples gags, je ne pense pas que le film aurait eu ce succès. Le point que j’ai apprécié aussi, c’est la présence de Julien Courbey, pas le présentateur de TF1, non, le jeune acteur aux grandes oreilles qui a joué entre autres aux cotés de Jamel Debbouze dans « Le Ciel, les oiseaux et… ta mère ».

Scénario

Ce n’est pas le genre de film que j’apprécie le plus, mais bon. On découvre le personnage principal déguisé en Péruvien et utilisant le motif de la dictature afin de trouver un refuge. Il sera finalement hébergé dans une église par un homme bon, le père Léon. On ne mettra pas longtemps à comprendre que Chouchou est en fait une drag-queen, je ne sais pas si c’est le terme exact, en gros c’est un mec qui aime se déguiser en femme. Le truc c’est que le film comporte plusieurs gags très drôles.

Jeu des acteurs

Le rôle principal est joué par Gad Elmaleh qui est hilarant grâce à son talent inimitable de jongler avec les mots (le choix d’homonymes placés au bon moment, mélange des sens des mots… je ne sais pas si c’est très clair, mais voilà). On retrouve également le grand monsieur Claude Brasseur dans le rôle d’un homme d’Église, Roschdy Zem jouant un peu son apprenti, recueilli alors qu’il était un délinquant. On notera aussi les apparitions très brèves de Michael Youn, puis plus prononcées de Julien Courbey (« Il était une fois dans l’Oued », « Le Ciel les oiseaux et… ta mère ») dans le rôle d’un jeune un peu perdu surnommé « Ikea » parce qu’il a la tête toute démontée à l’intérieur…

Réalisation

La réalisation est correcte, seul un détail me dérange et en tant que chrétien, je me permets de faire remarquer que le Père Jean a des réactions un peu mal choisies quand il voit la vierge Marie pouvant choquer certaines personnes. Mais on a un point positif que je souligne même si je ne suis pas spécialement fan de la Dame, c’est une espèce d’hommage à Diana (Lady Di) tout au long du film. Ça commence par une simple photo accrochée dans la chambre de Chouchou puis...

La suite ici

mercredi 23 septembre 2009

critique cinéma : Hitman




Adaptation d’un jeu vidéo, Hitman nous offre un spectacle d’action remarquable. L’agent 47 est un genre de tueur à gages travaillant seul, il sera manipulé puis trahi. Si tous les différents éléments du film prenaient modèle sur la qualité du scénario, qui n’est certes pas explosif, il serait de meilleure facture.

Scénario

Le scénario n’est pas très complexe, mais bénéficie de quelques éléments qui font le charme du film, dont le côté agent secret et assassin de l’ombre. L’acteur principal incarne un tueur à gages trahi par ses employeurs qui devra survivre à plusieurs camps qui seront à ses trousses, une espèce de police russe et Interpol entre autres…

Jeu des acteurs

Ici, les acteurs ne nous font pas vraiment vibrer, pas de grandes prouesses, de nombreuses maladresses, notamment dans les répliques, donc là ça ne vient pas forcément des comédiens.
Dans le rôle principal, on retrouve Timothy Oliphant qui apporte malgré tout un peu de fragilité mixée à beaucoup de froideur, certes, les critiques négatives sur le choix de cet acteur furent nombreuses, mais je pense pas que le problème vienne de lui même si au premier abord, c’est vrai que j’aurais bien vu Jason Statham (le transporteur). Je trouve le doublage français (pour l’agent 47) vraiment plat, sans émotions, encore un point négatif qui réduit grandement le charisme du personnage.
On a tout de même droit à un bon petit casting, pour les fans de Prison Break, on retrouve Robert Knepper alias T-Bag, lui par contre est très bien doublé, avec un petit accent russe qui lui va à ravir, et pour les fans de Lost, c’est Henry Ian Cusick alias Desmond qui fera quelques apparitions.

Réalisation

La réalisation est loin de briller de perfection ou de quelque chose s’en rapprochant, et c’est vraiment de ce point que la qualité du film chute énormément. Je trouve les répliques plus qu’un peu maladroites, mal choisies ou mal placées, je ne sais pas il y a quelque chose qui me gêne et le doublage de l’agent 47 très plat, ne lui donnant aucune émotion, limite le faisant paraître invisible peut-être était-ce le but…

La suite ici

mardi 22 septembre 2009

Critique Manga : Saint Seiya Episode G Tome 10




C’est seul qu’Aiolia, impulsif, se décide à affronter les titans en pénétrant dans leur antre. Mais il ne tardera pas à être rejoint par un chevalier à la beauté légendaire.
Les illustrations sont belles, mais trop souvent inégales d’un protagoniste à un autre, et puis Aoilia est toujours sur la couverture… Je veux bien que ce soit lui le héros, mais au bout de 10 tomes, il pourrait peut-être s’effacer un peu de temps en temps.

Histoire ou thème

Après une longue discussion entre les deux titans Hyperion et Océanos, on découvre un nouveau personnage à l’angélisme et à la douceur clairement illustre. Qui est-elle ? Nous le saurons sûrement plus tard.
Puis l’on revient quelques instants au grand combat entre Camus et Océanos. L’élément de ce dernier est l’eau, et la façon dont il la manipule est tout simplement déroutante. On reviendra ensuite à leur discussion où l’on pourra comprendre, le plan qu’il prévoit, dont Aiolia en est la principale cible. Le lion d’or se décidera d’ailleurs à donner l’assaut aux titans en solitaire.

Le genre

Les dessins sont toujours confus parfois, mais il y a un vrai contraste dans cette saga, car par moment ils sont vraiment très clairs et compréhensibles.
L’inspiration vient toujours de la mythologie grecque, avec les géants, les titans et Dieux, les lieux (le sanctuaire et le Chronos Laburinthos) …
Saint Seiya Épisode G est un manga et se lit donc à l’envers (par rapport à notre sens de lecture habituel en Europe).

Qualité de l'illustration

Sur la couverture est représentée Aiolia (encore et toujours) en pleine préparation de son « Lighting Plasma » avec les poings chargés d’un éclair. On peut voir tous les détails de son armure puisqu’il est dessiné en entier (de la tête aux pieds). Derrière lui, on devine facilement le visage de Camus, chevalier du Verseau entouré d’un aspect glacial.
Une fois le livre ouvert, c’est Aiolos et ses majestueuses ailes d’or du Sagitaire qui seconde le Lion d’or toujours au premier plan. On voit tout de suite que ce dernier est le personnage principal (un peu trop même) à son armure parée d’une brillance bien supérieure à celle de son grand frère.
Certaines illustrations manquent de détails (pour une fois c’est dans ce sens-là), en l’occurrence les visages tout noirs avec deux ronds blancs pour les yeux… Ce défaut apparait tout de même dans tous les tomes en étant plus ou moins inaperçu...

La suite ici

lundi 21 septembre 2009

Critique Manga : Saint Seiya Episode G Tome 9




Voici le neuvième volet de l’épisode G, narrant le passé des Chevaliers d’Or. Ce volume se veut puissant, avec l’arrivée du Taureau, mais aussi glacial, avec celle de Camus et Océanos. Aiolia sera moins présent, car un peu ensanglanté et épuisé par tous les précédents combats qu’il a livrés, mais ce n’est pas un mal, cela nous permet de découvrir d’autres personnages.

Histoire ou thème

Cronos ayant abandonné son apparence de géant pour une enveloppe charnelle, c’est alors face à un dieu amnésique qu’Aiolia fera face dans ce tome. Eh oui, il n’a ni mémoire, ni armure, car il lui manque encore un élément afin de parfaire sa réincarnation. Le roi des titans sera protégé par 6 guerrières dévouées à leur maître, ça aurait été trop facile sinon. Aiolia commencera d’ailleurs à affronter l’une d’elles, Thémis, puis un grand chevalier fera son apparition pour aider le lion d’or alors qu’un autre Titan capable de créer des monstres de pierre s’interposera.

Le genre

Ce tome est un peu moins confus dans les illustrations que les précédents, mais il l’est toujours un peu quand même. C’est Masami Kurumada, le papa de Saint Seiya qui est à l’origine de l’Épisode G, à ses cotés, c’est un certain Megumu Okada qui s’occupera des dessins, très détaillés, je me répète, mais c’est en couleur que l’on voit la réelle qualité de son travail.

Qualité de l'illustration

Dans ce volume, l’introduction en couleur nous présente la célèbre complicité entre Aldébaran et Mu, respectivement chevaliers du Taureau et du Bélier. Ce qui frappe tout de suite l’œil en regardant la couverture, c’est la perte de charisme (visuel) d’Aldébaran, il est beaucoup moins impressionnant que dans l’animé où il ressemblait largement à une grosse brute, ici il paraît inoffensif et fait plus « beau gosse ».
Je trouve un combat remarquable, s’il était en couleur, il nous donnerait froid, c’est celui qui oppose Océanos au Verseau, la force de l’eau contre celle de la glace, on pourrait croire que Camus à l’avantage, mais ce n’est pas aussi simple…

La suite ici

mardi 15 septembre 2009

Baisse d'activité du blog...

Bonjour à tous, désolé pour cette petite baisse d'activité du blog, je reviens de vacances, je vais donc m'y remettre, mais il n'y aura peut-être pas forcément une activité quotidienne...
En tout cas merci à tout ceux qui laissent des commentaires ainsi qu'à tous mes visiteurs !

vendredi 4 septembre 2009

Critique Manga : Saint Seiya Episode G Tome 8




Le tome 8 de Saint Seiya Épisode G reste fidèle aux autres dans ses bons côtés comme ses mauvais. La couverture et les pages couleur prennent ici comme sujet Canon, j’apprécie beaucoup. Les dessins sont toujours aussi confus, mais c’est à cause du noir et blanc en fait, car en couleur ils sont remarquables.

Histoire ou thème

Alors qu’Aiolia aide Shura à l’arctique de la mort, ils voient Cronos, le roi des titans, s’approcher du sanctuaire. Il ne reste que cinq chevaliers pour le protéger, Milo, Shaka, Aphrodite, Deathmask et Camus, mais nous allons en découvrir un sixième qui se cache en fait sous l’habit du grand pope.
Au fil des pages, on en apprendra un peu plus sur le passé d’Aiolia par l’intermédiaire de petits flashbacks.

Le genre

L’auteur de ce manga est le même que pour la série qui passait à la télé quand on était petit, Masami Kurumada. Megumu Okada travaille à ses côtés comme dessinateur, il est très talentueux, c’est sûr, mais il aurait fallu que le tome soit tout en couleur pour être moins confus. On a souvent du mal à comprendre ce qu’il se passe dans les combats.

Qualité de l'illustration

Ce que je note dans ce tome et qui diffère de la série animée, c’est la couleur de l’armure de Canon qui est dorée et donc ressemble trop à celles des chevaliers d’ors, dans le dessin animé, elle tendait plus vers l’orangée, ce qui était mieux je trouve, déjà pour le différencier des douze chevaliers du sanctuaire, mais aussi parce qu’il n’est tout simplement pas un chevalier d’or, mais des généraux de Poseidon. Un autre détail me gêne...

La suite ici

jeudi 3 septembre 2009

Critique Music : Orishas - A Lo Cubano




Orishas fait partie d’un genre de musique quasi unique : le rap cubain. Parmi ces quatre membres, on trouve un certain Roldan, un grand chanteur que vous avez peut-être déjà entendu aux côtés de Kool Shen (NTM), Stomy Bugsy ou encore Rohff pour le magnifique « Zone Internationale ».

Venant tous les quatre de Cuba, on ne peut que s’imaginer un album empli de sonorités latines. Pour les fans d’« Un, dos, tres », la série télévisée, on peut préciser qu’un des rappeurs du groupe (Yotuel, il me semble) y a eu un rôle. Je ne sais si c’est un point positif, mais c’est toujours bon à savoir. Le CD compte 15 titres, dont certains sont assez marquants par leurs rythmes envoûtants comme...

La suite ici

mercredi 2 septembre 2009

critique cinéma : Astérix & Obélix : Mission Cléopâtre




Ce film est à mon goût l’adaptation la plus réussie des aventures de nos Gaulois préférés. Le film est bourré de gags du début à la fin. Le DVD ne s’arrête cependant pas là, car vous pourrez encore rire à en avoir mal au ventre en parcourant les quelques bonus qu’il contient.

Scénario

Numérobis, un petit architecte égyptien, est choisi par la grande Cléopâtre pour construire un immense palais (destiné à César comme seconde résidence). Le seul petit souci, c’est qu’il n’a que trois mois pour le finir. Il fera alors appel à trois Gaulois qu’on connaît bien; j’ai nommé Astérix, Obélix, et bien sûr, Panoramix (sans lequel ils ne pourraient rien faire).

Jeu des acteurs

Le casting est tout simplement impressionnant de par le nombre de stars qu’il présente. Dans le rôle principal, Jamel Debbouze joue à merveille un Numérobis drôle à en pleurer. Ensuite, on s’ébahira devant la plantureuse Monica Bellucci en Cléopâtre (habillée de robes les unes plus sexy que les autres). On verra Alain Chabat (en César), les incontournables Depardieu et Clavier (en Obélix et Astérix), et Gérard Darmon (en méchant, jaloux de Numérobis). Et parmi les "guest stars" (stars invités, c’est ainsi qu’on dit chez nous je crois…), on apercevra la troupe des Robin des Bois (presqu’au complet), Bernard Farcy (le maladroit commissaire de la saga Taxi) dans le rôle du célèbre pirate malchanceux de la BD, et Mouss Diouf en pirate lui aussi (je vous laisse deviner quel rôle il a…). On verra aussi Noémie Lenoir, Jean Benguigui, Édouard Baer, Isabelle Nanty, Emma de Caunes, Dieudonné, et j’en passe…

Réalisation

La réalisation est énorme; on en ressentirait presque la chaleur de l’Égypte. Les décors sont vraiment somptueux: on pourra admirer les pyramides. On comprendra aussi comment le Sphinx a perdu son nez…

La suite ici

mardi 1 septembre 2009

critique cinéma : Mafia Blues




Vous aimez les films de mafia ? Vous aimez aussi les comédies ? Alors, vous avez choisi le bon film, Mafia Blues est un mélange de genres très réussi, durant le film vous pourrez remarquer de nombreux clins d'œil à de grands films et vous aurez aussi l’occasion de vous tordre de rire sur la quantité de gags.

Scénario

Le scénario est simple, un mafioso (Robert De Niro) voit se réveiller en lui certains problèmes psychologiques, il va alors croiser la route d’un docteur justement spécialisé dans ce domaine. La rencontre ne sera alors pas oubliée par les mafiosos, et le docteur ayant donné sa carte pour payer les frais de réparations du véhicule endommagé se verra contacter pour tout autre chose…

Jeu des acteurs

Robert De Niro dans un rôle de mafioso, vous allez me dire encore, mais là la différence est qu’il joue un mafieux en pleine dépression nerveuse. C’est un jeu d’acteur parfait, surtout dans les mimiques, j’adore. Ensuite, vous aurez droit à Billy Cristal dans le rôle d’un psychiatre essayant de garder son calme, mais avec un patient comme Paul Vitti (Robert De Niro), il n’arrivera pas à tenir pendant toute la durée du film. Vous pourrez aussi apercevoir Lisa Kudrow dans un rôle de blonde de service tout aussi inutile que dans Friends, ainsi que Joe Viterelli (qui a pour ma part réellement la tête de l’emploi) et Chazz Palminteri.

Réalisation

Cette comédie n’est pas comme toutes les autres, le réalisateur a su marier avec subtilité l’univers noir de la mafia à celui du rire…

La suite ici
 

Copyright 2007 ID Media Inc, All Right Reserved. Crafted by Nurudin Jauhari