lundi 31 août 2009

Critique Manga : Saint Seiya Episode G Tome 7




Encore un magnifique tome basé sur les titans et la résurrection de chacun de leurs membres. Les voici donc au complet face à Aiolia et ses alliés. C’est le chevalier du Capricorne qui est mis en valeur dans les premières pages couleur et sur la couverture. Si vous voulez plus de détails sur la saga « épisode G », n’hésitez pas à visiter mon avis sur le tome 6 qui est le plus complet.

Histoire ou thème

Le tome s’ouvre sur les Titans cette fois-ci, en pleine discussion autour de leur palais qui vient de réapparaître. Il est d’ailleurs beaucoup tourné sur les Titans, de quoi en apprendre plus sur eux. On retrouvera aussi Milo (scorpion) face au grand Hector. Au fil de notre lecture, on tombera sur des pages doubles représentant remarquablement pour certaines les chevaliers de bronze et pour d’autres les Titans au grand complet. C’est très intéressant pour admirer et mettre un nom sur les différents chevaliers. On pourra de ce fait noter la présence de nombreuses femmes parmi les Titans. Les chevaliers féminins étaient peu nombreux dans la série jusque-là.

Le genre

Saint Seiya Épisode G est un manga qui marie plusieurs genres. La mythologie grecque est omniprésente et c’est quelque chose que j’aime beaucoup et c’est grâce à Saint Seiya que je me suis découvert une passion pour celle-ci, tout petit. On pourrait également décrire son genre de médiéval, chevaleresque, moyenâgeux, car ses protagonistes sont des chevaliers vêtus d’armures toutes plus belles les unes que les autres, des dieux, des déesses et aussi des serviteurs. L’auteur n’est autre que Masami Kurumada, le papa de cette belle série.

Qualité de l'illustration

Très belle couverture encore une fois, et ici c’est Shura (chevalier du Capricorne) qui s’affiche aux cotés d’Aiolia (toujours au centre, normal c’est le personnage principal). Dans l’arrière-plan, près de la main de Shura qui est d’ailleurs en position d’attaque, est représenté son coup le plus connu, l’épée tranchante...

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vendredi 28 août 2009

Critique Manga : Saint Seiya Episode G Tome 6




L’alliance d’un auteur nous ayant fait rêver étant petit et d’un dessinateur au talent impressionnant, permet de faire renaître nos valeureux chevaliers d’Athéna, avec un petit coup de jeune, car cette saga se déroule quelques années avant la bataille du sanctuaire. Le tome 6 s’ouvre sur 8 pages en couleur, comme à son habitude, mais ici, on a plutôt droit à un début faisant croire à une tragédie qui finit en pitrerie…

Histoire ou thème

Revoici la série mythique qui a bercé notre enfance à nous qui avons maintenant entre 25 et 30 ans, plus connue en France sous le nom des « chevaliers du zodiaque ». À savoir que ce n’est pas vraiment la suite de la série animée, mais plutôt les origines. En fait, l’histoire se déroule quelques années avant la bataille du sanctuaire de Seiya et ses amis, et ici, le personnage principal est Aiolia, le chevalier du lion. Et toute la saga Épisode G sera axée sur les chevaliers d’or dans un long combat contre les Titans. À savoir que Saint Seiya est inspiré de la mythologie grecque en grande partie, et c’est cela qui donne à cette série un charme énorme selon moi. Après une petite touche d’humour dans les premières pages joliment mises en couleurs, on découvre un Aiolia assez énervé et près à en découdre avec le titan Coes.

Le genre

C’est un manga, donc, le sens de lecture est différent (on commence par la « fin » du livre pour nous, et l’on lit les cases de droite à gauche). C’est un peu étrange quand l’on débute dans cet univers, mais l’habitude vient très vite. L’œuvre est écrite par le grand Masami Kurumada. On garde donc le même auteur que pour le dessin animé. On pourrait classer Saint Seiya dans un genre médiéval (chevalier, armures, temples…). On se retrouve alors plongé dans la Grèce antique, avec sa mythologie, ses dieux et ses armures, faisant référence à un signe astrologique (pour les chevaliers d’or).

Qualité de l'illustration

La couverture est toujours magnifique, et nous offre un très bel « artwork » sur fond étoilé. Pour ce tome, on a droit à Aiolia dans son armure dorée du lion très lumineuse et éclatante, et Milo le chevalier du scorpion en second plan, lui, plus terne. Dans ce manga, le « character designer » n’est pas le même que pour l’animé. Il s’appelle Megumu Okada. Ses personnages sont dessinés avec de grands yeux (typique des mangas !) et des cheveux longs aux couleurs parfois étonnantes. Le manga commence par 8 pages en couleur, qui souvent font référence à...

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jeudi 27 août 2009

Critique Music : Doc Gyneco - Première Consultation




Ah! J’étais jeune quand j’ai découvert Doc Gynéco… "Première Consultation" est l’album qui l’a révélé au grand public et son meilleur. À l’époque de sa sortie, il avait fait beaucoup de bruit: son rap était différent, calme et lisse; on pourrait appeler ça du "rap/variet" et ce monsieur était plus intéressé par les filles que toute autre chose… Malheureusement, cet artiste bénéficie d’une mauvaise réputation de "fumeur de shit" et autres orientations politiques dont il ne se cache pas et qui ne peuvent pas plaire à tous. S’il apparaissait sobre et plus transparent sur ses choix (on n’est pas aux États-Unis là, mais en France…), je pense que son talent serait bien plus reconnu.

Avant cet album, le Doc faisait partie, pas à part entière, du Ministère A.M.E.R. aux côtés de Passi et Stomy Bugsy. On pourrait le qualifier de personnage très porté sur la chose (d'ailleurs, rien qu’à son nom d’artiste, on peut s’interroger) sur des titres comme «Vanessa» ou «Viens voir le docteur» qui se définissent très chauds et provocateurs… Ce n’est pas une insulte, au contraire, je pense que c’est ce qui a donné tout son charme à cet album. C’est aussi grâce à ça qu’il a réussi à se faire connaître, mais il n’y a pas que des titres comme ça parmi les 14 présents. On en trouve des plus noirs et mélodieux comme "Nirvana", qui ne fait pas référence au célèbre groupe de rock, mais bien au paradis, au septième ciel. Dans d’autres, comme «Dans ma rue» qui se veut assez emblématique, il parle de son quartier sur des sons assez proches de ceux du rap américain. En cherchant un peu plus loin, on tombe sur «Né ici» qui sent bon les îles d’où il vient, les Antilles (il me semble); d’ailleurs, si vous appréciez cette chanson, je vous conseille vivement le double album live du Secteur Ä (collectif qui regroupe Le Doc, Stomy, Passi, Neg’ Marrons, Janik et Ärsenik). Mais c’est surtout sa voix qui fait tout: elle est très...

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mercredi 26 août 2009

Critique Music : Doc Gyneco - Quality Street




« Quality Street » est le deuxième vrai album du Doc le plus célèbre du rap français sorti en avril 2001, « Liaisons dangereuses » étant plus une compilation qu’autre chose. On a là un CD plus zen et calme que son tout premier (première consultation) avec un Doc à la voix bien moins dynamique. Eh oui, après un excellent et mémorable premier opus qui lui a valu une entrée fracassante dans le monde du rap français, il nous en sort un second qui ne répond pas à nos attentes. Il ne rivalise pas du tout avec le premier et ne subvient pas à ce que l’on pouvait attendre.

Sur cet opus, ce sont surtout les sonorités qui sont agréables à l’oreille, toujours bien choisi, les rythmes sont légers et entraînants. La plupart des sons sont simplement orientés rap, reggae ou encore rap américain pour « Cousins » avec RZA et Cilvaringz, mais d’autres se démarquent en sonnant plus variété comme « Souveraine ».
13 titres sont présents sur cet album, et parmi ceux-ci, on retiendra « Trop jeune » avec Chiara Mastroianni, le son est simple, mais tellement bon, « Noirs et Blancs » et « Caramel » qui sont plus calmes et zen, « Rue Mazarine » qui est un peu plus dynamique, « J’sais pas remplir ma feuille d’impôts » et « La poudre aux yeux » qui est ma chanson préférée sur ce deuxième opus du Doc Gyneco, déjà pour son titre que je trouve poétique et puis...

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mardi 25 août 2009

Critique Manga : Saint Seiya Lost Canvas Tome 3




Voici le volume 3 des aventures des Chevaliers du Zodiaque qui précédèrent Seiya, Ikki, Mû, Saga et les autres Chevaliers de Bronze et d’Or. On y découvrira entre autres l’ancien chevalier des poissons. Si vous aimez Saint Seiya tout comme moi, je vous conseille vivement de vous mettre à la lecture de cette saga, haletante et intéressante, car l’on découvre que de nouveaux chevaliers (excepté Dohko et Shion). Sachez donc que les évènements narrés ici se déroulent avant l’épisode G (seulement pour situer dans le temps) et lors de la guerre sainte précédant celle du chapitre Hadès sorti récemment en Dessin Animé.

Histoire ou thème

Dans le tome 2, Tenma mourrait sous la puissance d’Alone. Yato et Yuzuriha partirent alors le chercher dans le monde des morts, mais ce ne sera pas facile. Un spectre, Fyodor de la Mandragore, leur barrera la route, ici commence le tome 3 ainsi qu’un combat difficile. Une fois notre lecture plus avancée, on découvrira Minos, « le grand marionnettiste », qui saccagera le sanctuaire accompagné de son armée constituée de quelques spectres. Mais il tombera sur un os, le chevalier des poissons à la froideur charismatique créera un parterre de roses les empêchant de passer.

Le genre

Masami Kurumada nous livre encore une magnifique saga de nos chevaliers favoris, même si les noms changent, ici les armures restent les mêmes, et j’ai hâte de découvrir les autres chevaliers d’or dans les prochains tomes. Les dessins sont fins et lisses, c’est une demoiselle s’appelant Shiori Teshirogi qui s’en occupe. Et d’ailleurs, elle laisse toujours un petit mot au début du livre sur les impressions qu’elle peut avoir sur son travail et la saga en plus général, ce qui nous rapproche un peu plus de la personne et la rend plus humaine, ça crée un petit lien entre elle et ses lecteurs... Enfin bref, je ne sais pas si c’est très clair, mais en tout cas j’apprécie le geste.

Qualité de l'illustration

Les illustrations sont toujours classes, légères et assez dépouillées (c’est un point positif ici). Je préfère cent fois plus les illustrations de Lost Canvas à celle de la saga Épisode G. La couverture nous montre les deux guerriers importants du tome, le chevalier des poissons, je ne vous dis pas son nom, ça laissera un tout petit peu de suspense et...

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lundi 24 août 2009

Critique Music : Tunisiano - Le regard des gens




Sorti en février 2008, « Le Regard des Gens » est un album vrai, parlant de sujets importants. Tunisiano est en quelque sorte le leader du groupe Sniper, c’est un rappeur engagé qui n’hésite pas à dire ce qu’il pense sur notre société, et c’est ça qui me plaît chez lui. On notera la présence d’Amel Bent qui habille plutôt bien les deux titres qu’elle partage avec Tunisiano.

Cet album en solo est le premier pour lui, et on peut sentir sur un morceau en particulier une certaine appréhension à laisser ses deux amis de Sniper pour partir seul, d’ailleurs c’est le titre du morceau « Solitude ». Après, pour ma part il y a 3 titres que j’aime beaucoup, « Répondez-moi » ou il se pose des questions sur l’humanité et le fonctionnement de notre société, « musique je t’haime », qui est une ode à la musique où il évoque ses bons cotés comme ses mauvais et « Le Regard des Gens », là tout est dans le titre, il raconte plusieurs petites histoires de gens simples, mais...

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vendredi 21 août 2009

Critique Series TV : Heroes Saison 1





Si vous aimez « X-Men », « Spiderman » ou tout autre type de super-héros, vous serez bluffé par « Heroes ». Dans cette série, les héros découvrent leur pouvoir « hors du commun » au fil des épisodes. Les personnages sont nombreux et avec de différents pouvoirs également et il faudra être très attentif pour ne rien perdre de la richesse et la complexité de la série.

Scénario

Sur les premières images, on découvre « Peter Petrelli » (l’un des héros) sur le bord du toit d’un immeuble, puis une voix off nous explique les possibilités psychiques pouvant exister chez certaines personnes. Chacun des héros va découvrir ses pouvoirs et apprendre à les dompter tout au long de cette première saison. Certains se trouveront des objectifs communs comme « sauver la pom-pom girl » ou empêcher un homme d’exploser afin de sauver le monde… Tandis que d’autres se contenteront de chercher les différents héros afin d'absorber leurs pouvoirs, cette quête sera celle du grand méchant de la série qui mettra du temps à apparaître, mais c’est ce qui permettra de maintenir le suspense.

Jeu des acteurs

Ici, ce qui diffère d’un film de super-héros comme « Batman » ou « Spiderman », c’est que les personnages ignorent l’existence de leur pouvoir au début, puis ils évoluent avec. Ils n’ont pas de costumes, pas de maîtrise facile et parfaite de leurs dons, et c’est ça, qui les rend plus humains. Parmi tous ces héros, l’un d’eux sera capable de peindre l’avenir, mais en se shootant, pour lui l’évolution se démontrera quand il créera ses toiles prophétiques sans drogues. D’autres seront dotés de télékinésie, d’un pouvoir de « persuasion » plutôt bien trouvé, ou encore de voler (plutôt classique), de traverser les murs, d’une force surhumaine… Certains sont étranges comme « faire fondre le métal » et je cherche encore son intérêt.
Les personnages sont plutôt attachants, et étant nombreux, je suis sûr que vous vous trouverez...

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jeudi 20 août 2009

Critique Music : Soprano - Puisqu'il faut vivre





Soprano est un très bon artiste au sein du rap français; mais comme souvent, le problème ne vient pas de lui, mais des radios qui diffusent trop les morceaux. Donc, dans mon cas, j’apprécie beaucoup moins ses chansons maintenant que quand j’ai acheté son album. Heureusement, tous les titres n’ont pas été des singles, et c’est dedans que se trouvent les perles du CD. Si vous avez apprécié les "Psy 4 De La Rime", vous aimerez Soprano qui en fait partie.

Il y a de nombreux titres appréciables sur ce disque (17 titres au total), comme «Mélancolique Anonyme» (titre plutôt bien trouvé), «Bombe humaine» (qui parle des martyrs qui font les attentats suicides), «Dans ma tête», «Moi j’ai pas» (qui peut montrer le talent comme le côté excessif de certaines personnes), «La famille» (où il nous parle de l’importance de la famille justement) et «Puisqu’il faut vivre». Mais mon préféré reste «Tant que Dieu», tant au niveau du son que des paroles: ce titre est...

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mercredi 19 août 2009

Critique cinema : I Robot



Un film futuriste où les robots sont au service de l’homme, un peu comme des esclaves, mais la révolte ne tardera pas et Will Smith jouera le rôle d’un inspecteur très motivé pour les arrêter… Le film date de 2004 et pourtant les effets spéciaux sont toujours aussi impressionnants que ceux de films sortis plusieurs années après « I, Robot ».

Scénario

On est en 2035, l’inspecteur Spooner (Will Smith) est un bon flic, mais il éprouve une certaine animosité envers ces robots qui font partie du quotidien de chacun. Chaque personne a son robot, qui l’aide à diverses tâches rébarbatives comme faire et porter les courses, promener les chiens, faire à manger, faire la vaisselle… Malheureusement, Spooner est seul à éprouver cette « paranoïa » envers ces robots. Ce sera la mort d’un de ses amis et créateur de la robotique qui déclenchera une enquête intense et pleine d’action menée par un inspecteur très obstiné.

Jeu des acteurs

Will Smith encore dans un rôle de flic, mais cela lui va si bien, rappelez-vous les deux Bad Boys. Là, la différence est que l’aventure se passe dans un futur pas si lointain que ça et que les suspects sont des robots dotés d’une intelligence artificielle impressionnante. On notera aussi la présence de Shia Labeouf qui devait sûrement faire ses débuts au cinéma. Pour citer les autres acteurs, Bridget Moynahan, Bruce Greenwood, James Comwell, Chi McBride et Alan Tudyk seront présents.

Réalisation

La réalisation des effets spéciaux est magistrale, on peut voir par moment des scènes d’action avec des centaines de robots. Le scénario est quasi sans faute et il nous amène à certaines réflexions sur l’évolution de notre technologie par exemple, et si un jour...

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mardi 4 août 2009

Critique Manga : Saint Seiya Lost Canvas Tome 2



Voici le Tome 2 des nouvelles aventures des chevaliers du zodiaque, le personnage principal étant toujours Tenma de Pégase, pas Seiya… Vous suivez ? Non ? Alors pour une meilleure compréhension, je vous conseille de lire mon avis sur le tome 1.

Histoire ou thème

Pour Tenma, l’aventure débute par un retour à son village natal. Accompagné de Sion et Dohko, il va découvrir un village transformé et complètement ravagé par Hadès qui s’est finalement bel et bien réincarné en ce monde. Mais le pire reste encore à venir… Plus loin dans notre lecture, on découvrira un autre chevalier de bronze auquel vous ne pensez sûrement pas…

Le genre

Toujours édité chez Kurokawa, le livre se lit à l’envers et de droite à gauche, je le précise, car il n’y a aucune explication sur ce sens de lecture contrairement à l’épisode G. Le genre du manga est plutôt orienté médiéval pour l’époque et les armures et mythologie grecque pour les noms des armures et les personnages, alors si vous aimez les histoires de chevaliers il est fait pour vous, et le mélange est plutôt réussi.

Qualité de l'illustration

Shiori Teshirogi nous réalise un second tome remarquable, dans le premier on avait de très beaux dessins mettant en valeur les Gold Saints au cours d’un changement de chapitre, et bien ici ce sont les spectres qui sont représentés en détail sur deux pages. Tous plus mystérieux les uns des autres en cachant leurs yeux avec leurs mèches de cheveux (à la Eaque de Garuda si vous avez vu l’animé), on arrive tout de même à en reconnaitre certains comme Charon, Garuda justement ou encore le grand Wywern…

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lundi 3 août 2009

Critique Series TV : Lost Saison 2



Qu’y a-t-il sous cette mystérieuse trappe ?
Que sont devenus Walt, Michael, Sawyer et Jin ?
Ce sont quelques-unes des grandes questions que l’on se pose à la fin de la première saison et quelques réponses se trouvent dans cette deuxième saison, tout aussi bourrée de révélations. Mais il restera encore de nombreuses énigmes, ne vous en faites pas. Je conseille réellement Lost, c’est une série tellement énorme et impressionnante…

Scénario

La saison 2 de Lost s’ouvre un peu de la même manière que la saison 1, c'est-à-dire sur un œil qui est ici celui de Desmond, l’habitant de la fameuse trappe ouverte à la fin de la précédente saison.
En plus de ce nouveau protagoniste, on en découvrira d’autres qui sont en fait les survivants de la queue de l’avion.
Puis, à partir de l’épisode 11, jack, Locke, Sawyer et Kate rencontreront « les Autres » et la série gagnera énormément en dynamisme et en action. L’intrigue en deviendra aussi plus intéressante, mais je n’en dis pas plus, à vous de découvrir les mystères de Lost…

Jeu des acteurs

Parmi les personnages intéressants et touchants, on pourra citer Rose qui nous donnera un grand moment d’émotion, mais elle s’effacera assez vite, un peu comme dans la première saison, dommage.
Les personnages devront faire face à leurs démons intérieurs (Charlie et sa drogue, Hurley et sa bouffe…), vous découvrirez donc leur volonté ou non à lutter contre ces pulsions néfastes.

Réalisation

On commence cette deuxième saison de Lost les oreilles envahies de bonnes ondes sur un son de « The Mamas and Papas », ce qui me donne envie de vous dire que ces sons assez vieux font le charme de la série. Les musiques sont toujours bien choisies et c’est un régal.
Dans les bonus, on trouve un grand nombre de scènes coupées, il aurait été intéressant de pouvoir les intégrer...

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