lundi 1 juin 2009

The Last Remnant : Critique consommateur partie 1


Trame Scénaristique / présentation du jeu


Dernier-né des studios Square-Enix (Final Fantasy, Dragon Quest), Last Remnant est un RPG à la fois somptueux et ambitieux.
Le but du jeu est simple, comme tout rpg qui se respecte, il nous faut faire évoluer nos différents personnages dans l’apprentissage de divers arts du combat (attaque), arts mystiques (magie), ou autres arts de soins et spéciaux.
Pour ce qui est du scénario, au cœur d’un monde habité de plusieurs races, les mitra (humains), les sovanis (des guerriers puissants à 4 bras), les quisitis (des tout petits êtres) et les yamas (des espèces de grosses brutes), on dirigera Rush, un jeune homme dont la sœur s’est faite enlevée sous ses yeux, son but sera donc de la retrouver dans un premier temps puis d’empêcher certaines personnes mal intentionnées de s’approprier les rémanences (« remnant » en anglais, d’où le titre du jeu) de ce monde. Pour cela, il sera aidé de David Nassau, dirigeant d’Atlhum (une des villes du jeu) et de biens d’autres personnages.
Toute cette aventure baignera dans une ambiance médiévale, dans un monde magique où les rémanences auront un grand rôle ou plutôt plusieurs, elles seront, pour certaines, d’une grande aide au combat (un peu comme des invocations de Final Fantasy), pour d’autres, des symboles, veillant sur la plupart des villes comme des déesses immobiles, et enfin elles pourront également être des outils, des armes ou autre chose.
Dans Last Remnant, on a la possibilité de sauvegarder quasi tout le temps par le menu, pas d’endroit précis à atteindre, certains n’apprécieront sûrement pas, d’autres diront que ça rend le jeu plus facile, c’est peut-être vrai mais je trouve que ça permet de pouvoir faire des petites sessions de jeu, on n’est donc pas forcé de jouer une heure pour atteindre le prochain point de sauvegarde, surtout quand on a peu de temps pour jouer (vie de famille, travail…).


Les plus

Les différentes races (qui rappelle un peu Final Fantasy X)
Les rémanences qui donnent une tonalité « magie » au jeu
Sauvegarder quand l’on veut

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