mardi 30 juin 2009

Emergency DS : Critique consommateur partie 2


Prise en main

Une prise en main simple car tout se fait au stylet (sauf pour mettre le jeu en pause…), on pourrait se dire que c’est pratique, mais déjà, mis à part les premières missions, vous ne voyez pas toute la zone sur l’écran, il faut alors mettre le stylet dans un coin pour déplacer la caméra, hélas ça ne fonctionne pas très bien (ralentissements et autres saccades), ce qui s’avère pas très agréable… Après on déplace les unités au stylet en leur assignant une tâche (en fait seul les pompiers ont proposent tâches, les policiers aussi mais c’est vraiment peu…) en les équipant de la meilleure manière qui soit et en leur indiquant la cible, et ils y vont.
On retrouve une petite partie des options connus sur pc d’après mes vagues souvenirs, (désincarcérer les gens prisonniers des voitures, s’équiper d’un extincteur, sauvetage aérien pour les zones inaccessible à pied ou pour plus de rapidité…). Par contre on ne choisit pas les unités que l’on envoie, elles arrivent par défaut, à vous de faire avec, c’est un petit point négatif, car ainsi, le jeu ne nous pousse pas à réfléchir à quel unité envoyer, non il nous envoie d’office ce qu’il nous faut.
Les menus sont clairs et hyper simple (en même temps y’a pas grand-chose à choisir, lancer une mission ou une autre…), pour jouer, on choisit une thématique puis une de ses missions (ex : catastrophe aérienne). Le menu options est peu fourni mais offre quand même des choses intéressantes comme une aide apparaissant sous forme d’une petite icône clignotant en cours de jeu dans le coin supérieur gauche pour vous indiquer des conseils, à consulter sans modération.
On n’y trouve pas de difficulté paramétrable, le niveau de jeu est basée sur votre réactivité et votre organisation, il faut être le plus rapide possible et avoir la meilleure stratégie (envoyer les pompier éteindre le feu puis envoyer les médecins soigner les blessés et envoyer les brancardiers…). Les dernières missions s’avèrent assez dur, puisqu’il vous faut vraiment sans cesse être en action et surveiller l’avancement de vos unités pour leur affecter une autre tâche dès qu’ils en ont finit une.
Pour ce qui est des gauchers (dont je fais partie), le jeu n’est pas gênant, vu que l’on bouge le stylet un peu partout sur l’écran et qu’il n’y a pas de menu spécifique à droite ou à gauche excepté la petite icône d’aide, et surtout, le menu option propose une sélection entre droitier et gaucher, ce qui influera sur l’emplacement de la petite icône d’aide.

+
Option droitier ou gaucher
Jouable uniquement au stylet

-
On ne choisit pas les unités

lundi 29 juin 2009

Emergency DS : Critique consommateur partie 1



Trame scénaristique / présentation du jeu


Emergency DS est l’adaptation d’une simulation de secours (d’urgence) sur DS d’un jeu déjà existant en plusieurs volets sur PC.
Votre but sera de sauver la vie des gens pris au piège dans de petits accidents ou de grandes catastrophes plus ou moins naturelles. Pour cela, vous disposerez de toute une armada de forces de l’ordre, pompiers, police et ambulance entres autres.
Le jeu ne comporte aucun scénario, donc pas d’histoire et pas de personnage principal, juste des effectifs à gérer et un seul but, sauver des vies.
Le jeu bénéficie seulement d’une sauvegarde automatique qui se déclenche dès qu’une mission est accomplie.
On pourrait peut-être lui trouver une finalité de prise de conscience par rapport à la difficulté du travail des secours. L’ambiance se voudra donc stressante, à chaque mission vous devrez être en alerte, sans arrêt en action pour ne perdre aucune vie.

+
Un jeu qui se prête bien à la DS

-
Pas de scénario

vendredi 26 juin 2009

Qu’est ce que Sauter ?



Qu’est ce que Sauter ? Un pisciniste ? Un agriculteur ? Un vendeur à la sauvette ou un cuisiniste ? Oui, parce que pour moi ça sonnait bien cuisine… Et bien non, rien de tout ça, Sauter est en quelques sortes un spécialiste 4 en 1 qui saura aussi bien vous aiguiller dans les domaines du Chauffage , du chauffe-eau , de la climatisation et de la ventilation afin que vous fassiez le meilleur choix possible.

Leur site www.confort-sauter.com , fraichement rénové, vous présentera dans un premier temps leur toute nouvelle gamme de produits, mais surtout, saura vous guider intuitivement grâce à ses menus clairs et organisés. Sauter se voudra aussi plus proche de vous en vous proposant une aide et des conseils lorsque vous choisirez l’option simplement nommé « mon projet », le site se montrera également assez explicite en mettant en ligne des notices, des guides et autres fiches techniques disponibles via l’onglet « utiliser nos produits ». Dernière chose importante, le spécialiste donnera accès à un outil de géo localisation pour vous épargner des recherches inutiles sur le web, et ainsi vous permettre de trouver le magasin le plus proche de votre domicile en deux ou trois clics (disponible via l’onglet « où trouver nos produits »).


Article sponsorisé

Soul Calibur IV Creation : Atlas de la Carène (Saint Seiya)






Voici donc Atlas de la Carène issue d'un des films de la saga, Abel pour être exact, et en guise de bonus, je vous offre cette photo (ci-dessous) de piètre qualité et beauté, et oui je pensais que ça rendrait bien avec la coupe afro...

mais je me suis résigné...

jeudi 25 juin 2009

Soul Calibur IV Creation : Selphie classic (Final Fantasy)





Selphie avec sa belle robe jaune de Final Fantasy 8 est assez simple à réaliser dans soul calibur IV, dommage que cette robe ai des manches, ça aurait pu être parfait...

mercredi 24 juin 2009

Soul Calibur IV Creation : The Conqueror (The Last Remnant)




Voici The Conqueror, grand personnage du dernier RPG de Square-Enix, The Last Remant, à savoir que chez nous son nom a été traduit par Alondite, allez savoir pourquoi...

mardi 23 juin 2009

Soul Calibur IV Creation : Gogo (Kill Bill)





Aujourd'hui, je vous présente une créa un peu plus recherchée, la méchante Gogo issue de Kill Bill, œuvre cinématographique de Mr Tarantino.

lundi 22 juin 2009

Soul Calibur IV Creation : Mr Popo (Dragon Ball Z)





Voici un aperçu de Mr Popo dans soul calibur 4, bon, il manque quelques détails, surtout la bouche rouge et les gros yeux... Mais c'est le maximum que je puisse faire...

vendredi 19 juin 2009

Soul Calibur IV création : Athena - Saori Kido (Saint Seiya)





Revenons à Saint Seiya avec cette petite créa de Saori Kido dans la tenue qu'elle portait au tout début de la saga, au colisée.

jeudi 18 juin 2009

The Getaway : Critique Consommateur


Ce jeu est impressionnant par sa modélisation de Londres en 3D mais il est aussi très décevant par sa lenteur chronique… Avant sa sortie, tous les médias nous parlaient d’un jeu énorme, magistral… Mais en fait non, il n’est rien de cela.

Scénario / histoire 5/5

Montrant de grosses similarités avec le GTA 3 de l’époque dont le phénomène commençait à exploser, The Getaway ne lui arrive, tout de même, pas à la cheville et reste beaucoup plus linéaire. Le jeu se divise en deux parties ou chapitres, l’un ou l’on se joue dans la peau d’un malfrat puis l’autre dans celle d’un flic. On commencera dans celle de l’ex taulard contraint de travailler pour ses « ex-collègues » criminels après qu’ils aient tué sa femme et enlevé son fils dans la rue juste sous ses yeux. Un scénario un peu dur mais qui a l’atout d’être très cinématographié genre film de gangster.

Jouabilité 3/5

Pour ce qui est du comportement des véhicules, je trouve que c’est là qu’est centralisée toute la lenteur du jeu. Longue à démarrer, la sensation de vitesse n’est pas au rendez-vous. Puis, pour vous indiquer l’itinéraire à suivre pour aller d’un point A à un point B lors des missions, il faudra vous fier aux clignotants, c’est discret peut-être même un peu trop… On aurait préféré avoir des flèches en haut de l’écran ou sur la route quitte à ne pas être vraiment réaliste.
Le jeu ne compte aucune carte donc, il n'est pas simple de se repérer dans cette grande ville. Ce qui est agréable, c’est qu’il n’y a aucune indication à l’écran, outre le changement physique du perso, sa façon de marcher changera aussi ainsi que son souffle, ce qui ne sera pas bon signe. En terme de jouabilité, certaines actions intéressantes seront possibles comme prendre un passant en otage ou se coller au mur, de ce coté là c’est bien.

Durée de vie 2/5

Le jeu n’est pas très long, Il totalise 12 missions pour chacun des deux protagonistes. Au cours de ces quelques missions, justement, on ne pourra pas sauvegarder mais un système de checkpoint nous permettra de ne pas avoir à tout se retaper. Bon, vous aurez quand même un petit bonus à la fin du jeu mais rien d’exceptionnel. Le choix d’armes sera assez léger : Fusil a pompe, pistolet, mitraillette…

Graphismes 2/5

Question graphismes, on ne va rien dire. Le jeu a vieilli et c’est normal il date tout de même de 2002. Donc, à l'époque actuelle c’est assez moche, certains s’en sortent mieux et vieillissent bien mieux. Malgré cela, on note quand même quelques effets visuels bien réussis comme les flammes, la fumée ou les taches de sang sur les murs quand vous prenez une balle. D’ailleurs, selon son état plus ou moins critique, votre héros affichera quelques taches de sang. L’apparence des véhicules changera aussi en fonction des dégâts subis puis ils finiront par exploser.

Points forts

  • Modélisation de Londres en 3D
  • Peu de temps de chargement
  • Actions du personnage (se coller au mur…)

Points faibles

  • Lent
  • Court (seulement 24 missions)
  • Caméra un peu difficile
12/20

mercredi 17 juin 2009

Peter Jacksons King Kong : Critique Consommateur


En général, je ne suis pas fan des jeux à la première personne genre FPS, mais là, la licence King Kong me plaisait alors, j’ai voulu voir ce que ça donnait. Finalement, c'est plutôt pas mal. Les phases d’actions changeantes (parfois on manie King Kong, c’est impressionnant! Parfois des personnages armés) rythment bien le jeu et l’on se plait à explorer cette ile perdue.

Scénario / histoire

Un classique du cinéma revue par Peter Jackson. Le scénario reste le même que dans le film : Des explorateurs arrivent sur une île verdoyante et encore vierge de tout activité moderne. Ils y croiseront divers animaux sortis tout droit de la préhistoire et puis bien sûr l’immense gorille que l’on pourra contrôler.

Jouabilité

L’aspect le plus intéressant, selon moi, sera de contrôler ce molosse. Il se balancera de branche en branche avec une aisance étonnante, défoncera des murs ou palissades avec une brutalité majestueuse. Les combats seront aussi très violents, notre grand singe préféré pourra s’emparer de troncs d’arbres énormes pour décrocher la mâchoire des T-Rex d’un coup furieux ou balayer quelques raptors comme de vulgaires fétus de paille. Pour ce qui est du contrôle de jack, ça reste du FPS classique. Il faudra réfléchir (par moments) pour trouver le moyen de se frayer un chemin sans se faire croquer. En effet, les munitions étant limitées, on aura la possibilité de détourner l’attention de gros voire très gros prédateurs en embrochant des plus petits qui leur serviront de casse-croute. Mais, il faudra aussi...

La suite ici

14/20

mardi 16 juin 2009

Onimusha 2 : Critique Consommateur


Après une magnifique cinématique d’introduction, on se retrouve plongé en plein cœur du Japon médiéval, au temps des Samuraïs. Et ce n’est pas un, mais cinq héros que l’on pourra incarner tout au long de l’aventure.

Scénario / histoire

On joue alors dans la peau de Jubei Yagyu, un jeune guerrier désireux de venger son village et ses proches de Nobunaga, le grand méchant de l’histoire, l’ayant détruit quelques temps avant. Notre héros croisera la route de 4 autres combattants qui se rallieront à sa cause. Mais on ne retrouvera pas Samanosuke ici, le héros du premier épisode, il faudra se tourner vers le troisième opus pour ça.

Jouabilité

La maniabilité est légèrement compliquée à prendre en main si vous n’avez jamais joué à aucun Resident Evil ou autres Onimusha, mais une fois cette formalité effectuée, le jeu en devient trop jouissif. Parcourir cet univers en découpant ses ennemis à coup de sabre, y’a rien de mieux. La possibilité de charger son arme afin de lancer des attaques très douloureuses pour les adversaires ainsi que la magie qui est dévastatrice donnent de très grandes sensations de puissance. Il y a aussi un tout petit côté RPG dans ce jeu, car on devra faire évoluer nos armes et armures grâce aux âmes amassées en tuant les démons. En ce qui concerne les armes justement, on manipulera divers sabres, fusil, arc ou encore un marteau…

La suite ici

14/20

lundi 15 juin 2009

Virtua Fighter 4 Evolution : Critique Consommateur


Ah ! Ce Virtua Fighter 4 Evo, il m’en a occupé des soirées il y a quelques années. On notera tout de même qu’il a un petit peu vieilli, ses graphismes ne sont plus au top aujourd’hui, mais son coté technique et son système de classement n’ont rien perdu de leurs charmes.

Scénario / histoire

Dans le mode "Quest", le but est de devenir le meilleur joueur de Virtua Fighter et de faire progresser son combattant jusqu’au plus haut rang. Le mode arcade permet simplement d’enchaîner une série de combats, l’histoire de chaque personnage n’est pas vraiment présentée ici.

Jouabilité

Ce jeu de combat est très technique, mais il est accessible si l’on prend le temps de parcourir le mode entraînement qui est très détaillée et de ce fait très complet. Chacun des 15 personnages sont très différents les uns des autres, et leurs palettes de coups étant assez large, il vaudra mieux se focaliser sur un seul...

La suite ici

14/20

vendredi 12 juin 2009

Soul Calibur IV création : Vegeta (Dragon Ball Z)




Petite créa de Vegeta dans Soul Calibur 4, ah ! c'est presque bien, dommage que la combinaison (ici en bleu) ne soit pas totalement uni, ça rendrait bien mieux...

jeudi 11 juin 2009

Resident Evil Outbreak : Critique consommateur


Resident Evil est un nom bien connu dans le petit monde des survival horror, même une référence, on peut le dire. Dans ce volet, un peu à part mais disposant toujours de la même jouabilité, on jouera plusieurs petits scénarios avec au choix huit personnages.

Scénario / histoire

Les mini-scénarios sont totalement distincts les uns des autres, et chaque protagoniste a sa place, qui peut-être plus ou moins importante dans chacune des histoires. Pour ma part, j’aurais aimé pouvoir jouer des héros bien connus des précédents opus (Claire Redfield, Léon ou encore Wesker…), mais on n'a le choix qu’entre des personnages inconnus, qui ont quand même chacun leur personnalité.

Jouabilité

A chaque nouvelle partie, on est accompagné de deux autres personnages dirigés par une intelligence artificielle (les coéquipers), il nous est alors possible de leur donner des ordres, et libre à eux de nous écouter ou non. Je trouve un peu dur de ne pas pouvoir mettre le jeu en pause pour soigner son personnage ou accéder à l’inventaire comme dans les épisodes antérieurs. Une chose de bien...

La suite ici

Note finale : 14/20

mercredi 10 juin 2009

Video GTA 4 : Balade en Rhapsody

mardi 9 juin 2009

God Of War : Critique Consommateur


Dans ce jeu, c’est l'univers de la mythologie grecque qui prime et lui donne toute sa beauté. Au cours de nos péripéties à travers des décors somptueux, on rencontrera diverses bêtes légendaires et autres divinités de l’Olympe.

Scénario / histoire

On incarnera une espèce de barbare pas très beau mais fort avide d’effusion de sang. Se moquant complètement du sort des autres, il ne se battra que pour lui et pour satisfaire sa soif de violence et de vengeance. Les rencontres avec des créatures mythologiques ne seront pas rares au cours de vos pérégrinations et vous vous plairez à les affronter.

Jouabilité

La première fois que j’y ai joué, j’ai tout de suite accroché car ce jeu se prend en main instinctivement. C'est-à-dire que vous allumez votre console, vous prenez la manette et pas besoin de tout de suite se renseigner sur les commandes, vous pourrez déjà faire beaucoup de choses. Après cela reste assez simple, vous aurez en supplément un petit coté RPG où pourrez faire évoluer vos armes et apprendre des techniques (coups spéciaux, esquives…). Certes, vous aurez peu d’armes différentes mais la panoplie de coups propres à chacune s’élargira par le biais de la partie évolution et vous octroiera des possibilités de combos...

La suite ici

Note Finale : 15/20

lundi 8 juin 2009

Need For Speed Carbon critique consommateur


Etant sorti il y a près d'un an (novembre 2006), on peut maintenant se le procurer pour environ 30€, c'est déjà un point positif. Need for Speed est une saga bien connue du jeu de course "arcade"où l'on pilote des voitures de luxe. Il sait très bien s'adapter aux différents modes, ici tuning, drift et courses de rues anarchistes. Mais il n'abandonne pas ses bases : les interminables courses-poursuites avec la police, qui se perfectionnent à chaque épisode.
Le jeu souffre seulement de quelques défauts au niveau de la maniabilité, mais rien de trop méchant.

Scénario / histoire

C'est un jeu de voiture, donc le scénario n'est pas exceptionnel, mais suffit à nous divertir... Après tout c'est son but.
Conduire des voitures de rêve et d'autres un peu plus classiques, c'est toujours plaisant même si ce n'est que fictif.
Les courses-poursuites avec la police excellent et nous enivrent de grandes sensations.

Jouabilité

On note toujours le même problème de retard de réaction entre le moment où l'on appuie sur le bouton et le moment où la voiture se déplace.
Je ne suis pas trop fan de la totale liberté de circulation dans la ville : je préférais les circuits (genre Hot Pursuit 2), et puis du coup les circuits en sont trop similaires, pas dans les tracés mais dans les décors (trop identiques).
Autre nouveauté, dans ce NFS, on a droit à l'aide de coéquipiers. On peut alors bénéficier d'aspirations, d'indications de raccourcis ou encore de grosses brutes...*

Note Finale : 14/20

La suite ici

vendredi 5 juin 2009

Soul Calibur IV Creation : Videl (Dragon Ball Z)





Cette nouvelle création prend pour modèle Videl, la petite amie de SanGohan issue de Dragon Ball Z.

jeudi 4 juin 2009

The Last Remnant : Critique consommateur partie 4


Environnement

Les graphismes sont corrects mais accusent quand même plusieurs défauts. Les lieux sont en général assez sombres au niveau visuel, heureusement on a la possibilité de régler la luminosité par l’intermédiaire des menus du jeu, mais ça reste tout de même assez terne. En plus de ça, on aura affaire à quelques petits ralentissements très désagréables à chaque fois que l’on change de lieu, les textures mettent deux à trois secondes à venir et vu que ça arrive assez fréquemment, c’est vraiment énervant. Et puis d’autres ralentissements viennent casser le dynamisme des combats tout en se révélant assez gênant lors des phases de pressages de touches.
Pour ce qui est des points positifs, les différents lieux se veulent plus ou moins variés, on note beaucoup de grottes, quelques espaces verts, du marais, de la montagne du désert et autres…
Les combats sont visuellement assez sanglants, et oui pour la première fois dans un rpg on peut voir des giclées de sang à chaque duel entre les unités.
Les menus sont assez clairs, pratiques et esthétiques (au niveau des couleurs) même s’il y a pas mal d’information à consulter. Les textes sont suffisamment lisibles, que ce soit au niveau de la taille, de la couleur et de la police utilisée.
La caméra est à gérer soi-même en balade et lors des phases de préparation en combat, on peut régler sa vitesse quand on la fait tourner et disons qu’elle est assez libre, assez flexible, comprenez que l’on peut la tourner à 360°, la monter, la descendre, enfin bref de ce coté-là c’est plutôt bien. Pour ce qui est de la carte, à l’instar de Final Fantasy X, dans chaque zone on a une petite carte dans le coin de l’écran dès lors que l’on a trouvé cette carte dans la zone, mais elle n’est jamais très difficile à trouver.
Venons-en maintenant au Character Design, parmi les nombreux alliés à recruter, on note des esthétiques plutôt assez variés, et cela se remarque aussi avec les PNJ (personnage non jouable) que l’on croise dans les villes, en fait on a du mal à en trouver deux identiques. A contrario, le bestiaire est loin d'être exceptionnel et mémorable, il est peu varié, là par contre on tombe souvent sur des monstres qui se ressemblent mais pourtant originaires de différentes zones et puis certains monstres ressemblent à des petit tas d'algues défrêchis...
Pour ce qui est de la navigation au sein des villes, on a droit à une belle image un peu « carte postale » avec les différentes rues indiquées par des points lumineux ainsi qu’une légende indiquant ce que représentent les différents symboles relatifs aux commerces.
Pour ma part, les musiques sont loin d'être au top, elles ne sont pas très marquante, et certaines, principalement lors des combats, se révèlent irritantes, seul quelques thèmes propres à certaines villes restent agréables (Baaluk par exemple).
Pour finir, on trouve un autre défaut dans les temps de chargement qui sont assez longs et nombreux (après et avant les combats, entre les changements de lieux, au chargement de la sauvegarde), ça casse bien le rythme du jeu et donne envie d’éviter les combats au maximum… Malgré tout, les développeurs ont mis ces attentes à contribution en proposant astuces et didacticiel pendant ces « Loading ».

Les plus
Du sang dans un RPG
Beaucoup d’alliés (chefs) à recruter ayant une certaine classe

Les moins
Le problème d’affichage des textures à l’arrivée dans un lieu
Les ralentissements et autres saccades en combats
La bande-son
Le bestiaire
Les temps de chargements

mercredi 3 juin 2009

The Last Remnant : Critique consommateur partie 3


Durée de vie

Ce n’est pas facile de se faire une idée de la durée de vie car il n’y a pas de compteur visible à la sauvegarde, en fait il y est seulement indiqué l’heure de la dernière sauvegarde, mais bon ce que je peux vous dire, c’est que cette durée de vie est bien conséquente, comprenez que Last Remnant honore largement le principal point fort de tout RPG qui se respecte.
Au fur à mesure de l’avancement dans le jeu, on débloque la possibilité d’utiliser d’avantage d’unions, de chefs et de soldats sur le champ de bataille. L’évolution des personnages nous permettra également de débloquer de nouvelles attaques, magies et autres capacités de plus en plus puissantes.
Ce qui est passionnant dans ce jeu c’est de chercher la meilleure configuration des unions et combinaison des unités, c’est cet aspect qui vous occupera la majeure partie du jeu.
De nombreuses missions annexes consistant, par exemple, à récupérer un objet en parlant aux villageois pour certaines, à escorter un groupe dans une grotte ou encore collecter divers ingrédients pour d’autres.
Les combats jouent beaucoup dans la durée de vie, ils deviennent de plus en plus longs parce que l’on a de plus en plus d’unités et d’unions à gérer et les unions adverses sont de plus en plus nombreuses et coriaces. On passe donc beaucoup de temps sur le champ de bataille, même peut-être plus qu’à explorer le vaste monde de Last Remnant, à vous de voir si cet aspect vous attire ou pas.
Pour rallonger cette durée de vie, vous aurez accès à de nouveaux contenus sur le marché xbox live dont la plupart sont gratuits, j’écrirais prochainement des articles sur chacun d’entre eux.

Les plus
Beaucoup de missions annexes
Plusieurs contenus téléchargeables gratuits

Les moins
Des combats un peu longs parfois
Pas de compteur de temps de jeu ?...

mardi 2 juin 2009

The Last Remnant : Critique consommateur partie 2


Prise en main

On a affaire ici à un Rpg orienté un petit peu vers la stratégie, ça se ressentira évidemment au niveau des combats qui se révèlent assez complexes, mais ce n’est pas forcément un mal.
Première chose, avant d’aller à la bataille, on se prépare, du coté équipement ce n’est pas trop dur car on aura que Rush à gérer, les autres vous demanderont s’ils peuvent prendre tel ou tel objet ou arme. Après, du point de vue des compétences, là, même chose, chaque équipier vous demandera ce qu’il doit apprendre ou pas, il évoluera donc dans le domaine que vous lui prédestinerez. Enfin, j’en viens au plus intéressant (et plus compliqué), la gestion des équipes (appelées unions dans le jeu), déjà, elles seront constituées de 5 combattants au maximum dont plusieurs « chefs » (qui pour la plupart ont des rémanences) et plusieurs « soldats ». Dans un premier temps vous serez limités dans le nombre d’unions, de chefs (sur le terrain et en réserve) et de soldats (également sur le terrain et en réserve) mais pas de soucis, cela évoluera au fil de votre avancement dans le jeu pour au final dirigé une petite armée...
Venons-en maintenant au combat en lui-même, déjà on ne choisit pas l'action d'un personnage en particulier mais celle d'un groupe (union) de personnage (donc un groupe d’actions), ce qui est embêtant, c'est de ne pouvoir choisir précisément, une par une, ces actions, mais en même temps ça deviendrait laborieux, les combats sont déjà assez longs comme ça... Ensuite, pour le système de combat, là c’est du tour par tour, donc entre chaque, on a le temps de choisir ses actions, j’aime bien, ça reste simple et correct, après quand vos unités commencent à attaquer, il arrivera souvent qu’il vous faille presser une touche assez rapidement, cela vous permettra entre autres soit d’agir avant l’ennemi, soit de remplacer l’action de votre guerrier suivant par une plus puissante que vous ne choisissez pas (bien entendu !).
Autre chose sur laquelle vous n’avez aucun impact, ce sont les attaques des rémanences, ce n’est pas possible de les lancer quand l’on veut, elles ne sont disponibles qu’à certains moments qui sont à mon goût bien trop rares…
Il y a peu, j’ai découvert la possibilité de combiner certains sorts qui donneront lieu à des synergies, qui sont en fait des magies de zones capables de frapper toutes les unions ennemies présentes.
Il y a une autre chose que j’ai remarqué récemment, ce sont les différences avec la version pc que je trouvent abusées comme la possibilité de désactiver certaines compétences, assez pratique pour les synergies justement et le fait de pouvoir jouer avec un maximum de leaders…
Coté carte, Dès le début on peut naviguer en un clin d'oeil sur les différents lieux connus, plutôt appréciable je trouve et pas forcément nuisible à l’exploration, puisqu’il faudra d’abord trouver les différents lieux pour pouvoir les visiter et puis pour sortir d'une zone il faudra atteindre un téléporteur ou une frontière entre la zone et la carte.
Les compétences se divisent en 4 groupes, celles d’attaques (les arts du combats), la magie (arts mystiques), celles de soins et les spéciales (arts uniques). L’apprentissage se fait au gré des batailles et de l’expérience engrangé (qui est invisible, puisqu’il n’y a aucun niveau ou chiffre qui défile à la fin d’un combat) pour la plupart sauf pour les arts uniques, pour celles-ci, vous les découvrirez par le scénario et certaines quêtes.
Au final, la prise en main s’avèrera assez complexe dans le sens où il faut comprendre comment fonctionne l’apprentissage des compétences, la gestion des unions, les combats… Mais une fois tout cela assimilé, le jeu se montrera plutôt plaisant. Sinon, en ce qui concerne la prise en main de la manette et des commandes, aucun souci à se faire, on n’est pas dépaysé, la configuration des touches reste classique, « Y » pour le menu, « A » pour confirmer, « B » pour annuler…

Les plus
Diriger une petite armée
Système de combat en tour par tour
Navigation simple et rapide sur la carte

Les moins
Peu d’attaques de rémanences (invocations)
Version xbox360 défavorisée par rapport à la version PC

lundi 1 juin 2009

The Last Remnant : Critique consommateur partie 1


Trame Scénaristique / présentation du jeu


Dernier-né des studios Square-Enix (Final Fantasy, Dragon Quest), Last Remnant est un RPG à la fois somptueux et ambitieux.
Le but du jeu est simple, comme tout rpg qui se respecte, il nous faut faire évoluer nos différents personnages dans l’apprentissage de divers arts du combat (attaque), arts mystiques (magie), ou autres arts de soins et spéciaux.
Pour ce qui est du scénario, au cœur d’un monde habité de plusieurs races, les mitra (humains), les sovanis (des guerriers puissants à 4 bras), les quisitis (des tout petits êtres) et les yamas (des espèces de grosses brutes), on dirigera Rush, un jeune homme dont la sœur s’est faite enlevée sous ses yeux, son but sera donc de la retrouver dans un premier temps puis d’empêcher certaines personnes mal intentionnées de s’approprier les rémanences (« remnant » en anglais, d’où le titre du jeu) de ce monde. Pour cela, il sera aidé de David Nassau, dirigeant d’Atlhum (une des villes du jeu) et de biens d’autres personnages.
Toute cette aventure baignera dans une ambiance médiévale, dans un monde magique où les rémanences auront un grand rôle ou plutôt plusieurs, elles seront, pour certaines, d’une grande aide au combat (un peu comme des invocations de Final Fantasy), pour d’autres, des symboles, veillant sur la plupart des villes comme des déesses immobiles, et enfin elles pourront également être des outils, des armes ou autre chose.
Dans Last Remnant, on a la possibilité de sauvegarder quasi tout le temps par le menu, pas d’endroit précis à atteindre, certains n’apprécieront sûrement pas, d’autres diront que ça rend le jeu plus facile, c’est peut-être vrai mais je trouve que ça permet de pouvoir faire des petites sessions de jeu, on n’est donc pas forcé de jouer une heure pour atteindre le prochain point de sauvegarde, surtout quand on a peu de temps pour jouer (vie de famille, travail…).


Les plus

Les différentes races (qui rappelle un peu Final Fantasy X)
Les rémanences qui donnent une tonalité « magie » au jeu
Sauvegarder quand l’on veut

 

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