samedi 10 octobre 2009

Critique Music : Stomy Bugsy - Le Calibre qu'il te faut

Stomy Bugsy faisait partie du groupe Ministère Amer aux côtés de Passi, avec certains titres comme « Sacrifices de poulets » qui les ont conduits devant les tribunaux. On a donc affaire ici à un album de rap français « à l'ancienne », sorti en novembre 1996. Il faut aussi savoir que Stomy a un parler un peu agressif, après c’est du rap, et puis c’est ce qui fait le charme de l’album.

Cet album a un côté « old-school » et « underground » que n’a pas le suivant. Parmi ses 20 titres (dont 6 interludes), on découvre des perles comme « Derniers pas dans la mafia » avec Akhenaton et « Mes forces décuplent quand on m’inculpe ». D’ailleurs, une grande partie de l’album baigne dans une ambiance mafioso. D’autres titres sont plus légers comme « Mon papa à moi est un gangster ou « L’ouvrier », qui sonne très…

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vendredi 9 octobre 2009

Critique Manga : Saint Seiya Episode G Tome 13





Voici enfin la suite de combat d’Aiolia et Shaka contre le diabolique Japet ayant sacrifié son épouse Thémis pour augmenter la puissance de son cosmos. Avec toute la tristesse et la haine qui l’envahit, le titan Japet ne ressemble dorénavant plus à un dieu, mais plutôt à une bête furieuse, à « Diabolos » comme Shaka le nomme si bien.

Histoire ou thème

Comme je l’expliquais dans le premier paragraphe, ce tome 13 est une suite des plus directes au douzième, les tomes se suivent toujours, mais ce que je veux dire ici, c’est que le terme « suite » prend réellement tout son sens, car l’on est directement projeté de par l’interlude couleur dans le combat qui faisait rage entre Aiolia, Shaka et Japet.
Après cette introduction couleur, on prend tout de même le temps de découvrir un personnage quelque peu angélique avec de grandes ailes noires. Qui est-il, ça, on le saura dans ce tome, mais est-il du coté des chevaliers d’Athéna ou des titans, ça, ce sera sûrement dans le prochain volume.
Aiolia, dans son dur combat face à Japet, sera aidé d’une aura un peu similaire à celle dont bénéficie Seiya dans l’animé, j’essaye de mettre un peu de suspense, mais je pense que vous aurez compris.

Le genre

Ce manga nous raconte les aventures du passé des chevaliers d’or en prenant Aiolia en tant que Héros de ces péripéties. C’est évidemment Masami Kurumada, l’auteur originel de la série qui nous livre cette saga. Pour les illustrations, il a choisi les services de Megumu Okada, un dessinateur très doué, mais dont les clichés rendent bien mieux en couleur qu’en noir et blanc.
Il faut savoir que mes critiques de chaque tome se complètent en quelque sorte (je n’énumère pas les mêmes détails sur chacune pour éviter l’abus de ressemblance), alors n’hésitez pas à visiter les autres, car si vous en êtes ici, c’est que j’imagine vous êtes un fan du manga tout comme moi et que vous avez lu tous les anciens tomes.

Qualité de l'illustration

La couverture est magnifique, on peut y admirer Aiolia, les poings chargés de son « lightning bolt », Japet, le visage tourné vers le haut et Thémis avec le visage regardant vers le bas, logique puisqu’elle est partie vers le Tartare dans le tome précédent.
La première page intérieure nous permet de nous émerveiller sur l’armure du lion d’or, simplement dessiné sur fond noir, je trouve ça très classe.

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jeudi 8 octobre 2009

Critique Manga : Saint Seiya Episode G Tome 12




Le tome précédent se clôturait sur la fuite de Pontos face à l’alliance de nombreux chevaliers d’or ainsi que du grand Pope aux côtés d’Aiolia. Ce tome-ci s’ouvre sur Cronos, puis l’arrivée de deux Titans sur le champ de bataille venus combattre les guerriers d’Athéna.

Histoire ou thème

Aiolia se retrouve face à Japet et Thémis unissant leurs forces pour créer une attaque colossale nommée «planète». Il sera seul peu de temps, puisque c’est «le chevalier le plus proche d’un Dieu» qui viendra lui prêter main-forte. Ce volume traitera uniquement de ce grand combat, et même s’il y a quelques rebondissements, je trouve dommage qu’il ne soit pas plus varié et qu’on ne voie pas d’autres combats.

Le genre

Masami Kurumada dirige toujours l’écriture de la saga; Megumu Okada, lui, s’occupe de tout ce qui est illustration. Les dieux grecs apparaissent toujours autant mégalomanes dans ce tome que dans la saga en général; on a donc vraiment envie qu’ils se fassent remettre à leur place! Certains passages nous permettront un petit apprentissage de la mythologie grecque, comme celui qui nous narre l’histoire de Prométhée qui n’est autre que le fils de Japet et Thémis.

Qualité de l'illustration

L’interlude couleur nous montre dans ce volume un Cronos s’interrogeant sur son pouvoir et sa personne. On ne le sent pas si méchant que ça, mais rappelez-vous qu’il est encore amnésique; c’est là la raison de ses questions. Toute l’introduction baigne dans des tons violets; il faut croire que c’est la couleur des méchants dans Saint Seiya, car dans la saga Hadès, les armures des spectres brillaient également de ce mauve.

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mercredi 7 octobre 2009

Critique Manga : Saint Seiya Episode G Tome 11




À la fin du tome précédent, Aphrodite, chevalier des poissons, se trouvait en proie à un géant armé d’une énorme masse. Nous commençons ensuite notre lecture sur une énigmatique rencontre entre le grand Pope et un mystérieux personnage, puis s’ensuit la course d’Aiolia pour sauver Lithos.

Histoire ou thème

Après l’interlude couleur, on découvre alors le grand Pope recevant un protagoniste obscur et charismatique devant lequel il n’hésitera pas à s’incliner. "Pourquoi?" me direz-vous. Eh bien, je vous laisse le découvrir. Puis, on retrouvera le chevalier du signe des poissons qui fera du colosse son affaire. Aiolia, lui, continuera son avancée puis tombera face à face avec le combattant si ténébreux du début du livre, qui d’ailleurs mettra un peu de temps à se présenter (quel malpoli!). Ah, enfin un nom! Vous croyiez que j’allais vous le dévoiler? Eh bien, non; il vous faudra lire le tome numéro 11 pour le savoir, car moi je n’en dirais rien. Puis, j’en ai déjà trop dit!

Le genre

Qui dit manga dit lecture à la japonaise; donc pour nous, petits Européens, le sens de lecture inversé (on commence par la «fin» du livre et on lit les cases de droite à gauche), c’est un peu étrange pour les non-habitués de cet univers. Mais on s’y accoutume assez vite; d’ailleurs, pour ma part, je me surprends quelquefois à lire les magazines en commençant par la fin… L’Épisode G est écrit par le talentueux Masami Kurumada qui n’est autre que le papa de la série depuis le début, donc un auteur qui connaît parfaitement la saga Saint Seiya. La série est assez médiévale tout en se passant à notre époque (mais ça ne se voit pas tellement dans l’épisode G). Cette saga retrace le passé des chevaliers d’or; d’ailleurs le «G» de l’Épisode G, c’est tout simplement pour «Gold».

Qualité de l'illustration

Une couverture très rosâtre, normale, puisqu’elle a pour thème Aphrodite du poisson et ses attaques basées sur les douces roses (les fleurs) qui peuvent être rouges, noires ou blanches, cette dernière étant la pire, il me semble... Aiolia est en premier plan comme à son habitude, en train de préparer son «Lightning Plasma » foudroyant. La première page représente Aiolia surplombé de l’énigmatique personnage. Ensuite, nous continuons avec Aphrodite puisqu’il est le thème de cet interlude. Celui-ci est alors convoqué par le grand Pope pour une mission secrète qui représente la scène précédant son arrivée aux côtés du chevalier du lion, mais le plus beau reste la frise, dans les tons rosés évidemment; elle émane une agréable douceur et pureté. Et pourtant, ce chevalier n’est pas si tendre…

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mardi 6 octobre 2009

critique cinéma : Atlantide




Réalisé par les studios Disney, ce film d’animation prend pour inspiration la légendaire cité engloutie, Atlantide. Doté de nombreux bonus comme les coulisses de doublages, un mini-documentaire sur les mythes de la cité perdue, ou encore les scènes coupées, ce DVD vaut vraiment le coup. Pour ma part, c’est vraiment l’histoire qui m’a attirée. Les dessins ne me font pas trop d’effet, je ne les trouve pas exceptionnels, seuls certains effets de lumière donnent un peu de magie au dessin animé.

Scénario

Qui n’a jamais entendu parler de cette cité perdue, disparue mystérieusement ? Elle est donc le sujet principal de ce dessin animé. Milo est un professeur bibliothécaire défendant des théories assez intéressantes, mais difficiles à croire. Il cherche à obtenir un budget de ses supérieurs pour engager des recherches, afin de découvrir Atlantide. Malheureusement, ils refusent, mais rien n’est perdu. Il fera la connaissance d’un vieil homme richissime, qui lui offrira le budget dont il avait tant besoin, et alors les recherches commencent. Milo connaîtra de nombreuses péripéties, le reste, je vous laisse le découvrir…

Jeu des acteurs

Les doublages des stars sont impressionnants. Entre autres, vous pourrez apprécier les voix de Jean Reno, Patrick Timsit, Mouss Diouf. Mais le meilleur reste Jean Reno, doublant un accro à la dynamite, avec une espèce de voix de mafioso italien, c’est une prouesse vocale !

Réalisation

Je ne suis pas spécialement fan des dessins, mais ça reste tout de même dans l'esprit de Disney, et après, ce n’est pas parce que je n’aime pas que vous n’aimerez pas ! On peut aussi remarquer les magnifiques effets de lumière qui embellissent le film et qui sauront émerveiller vos pupilles ou celles de vos petits. Seul petit détail qui m’a déplu, le Léviathan n’est pas censé ressembler à un homard géant mécanique, et ce n’est pas ma culture de « Final Fantasy » qui me fait dire ça, même s’il devrait plutôt ressembler à un gigantesque serpent de mer…

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