Le tome précédent se clôturait sur la fuite de Pontos face à l’alliance de nombreux chevaliers d’or ainsi que du grand Pope aux côtés d’Aiolia. Ce tome-ci s’ouvre sur Cronos, puis l’arrivée de deux Titans sur le champ de bataille venus combattre les guerriers d’Athéna.
Histoire ou thème
Aiolia se retrouve face à Japet et Thémis unissant leurs forces pour créer une attaque colossale nommée «planète». Il sera seul peu de temps, puisque c’est «le chevalier le plus proche d’un Dieu» qui viendra lui prêter main-forte. Ce volume traitera uniquement de ce grand combat, et même s’il y a quelques rebondissements, je trouve dommage qu’il ne soit pas plus varié et qu’on ne voie pas d’autres combats.
Le genre
Masami Kurumada dirige toujours l’écriture de la saga; Megumu Okada, lui, s’occupe de tout ce qui est illustration. Les dieux grecs apparaissent toujours autant mégalomanes dans ce tome que dans la saga en général; on a donc vraiment envie qu’ils se fassent remettre à leur place! Certains passages nous permettront un petit apprentissage de la mythologie grecque, comme celui qui nous narre l’histoire de Prométhée qui n’est autre que le fils de Japet et Thémis.
Qualité de l'illustration
L’interlude couleur nous montre dans ce volume un Cronos s’interrogeant sur son pouvoir et sa personne. On ne le sent pas si méchant que ça, mais rappelez-vous qu’il est encore amnésique; c’est là la raison de ses questions. Toute l’introduction baigne dans des tons violets; il faut croire que c’est la couleur des méchants dans Saint Seiya, car dans la saga Hadès, les armures des spectres brillaient également de ce mauve.La suite ici
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