Ce dernier Final Fantasy (FF) en date, pourvu de graphismes toujours plus magnifiques, n’arrive pas à la cheville de ses prédécesseurs. Le changement radical de système de combat fait défaut, le scénario est plat et manque d’émotions et les cinématiques sont rares… Par contre, le bestiaire est très complet.
Scénario / histoire
Comme j’ai dit plus haut, le scénario manque d’émotions et on a du mal à s’y accrocher, contrairement à d’autres FF tels que le 10, dont l’histoire était très prenante. Peut-être est-ce dû à l’absence de Nobuo Uematsu, grand compositeur des musiques des précédents volets. Ici, les musiques sont moins intenses. Attention, je ne dis pas qu’elles sont mauvaises, car elles ont beaucoup de charme aussi.
Jouabilité
Le changement de système de combat n’est pas glorieux. On doit constamment modifier la configuration des personnages, et ça devient juste de la gestion plus que de l’action, parce que l’on peut très bien laisser les personnages se battre tout seul en gros. Honnêtement, je préférais largement le tour par tour, où l’action n’était pas confuse (car, dans FF 12, on a souvent tous nos personnages qui attaquent en même temps, et des fois, il y a une magie qui charge et qui charge… et on se fait sucrer 3 tours), et où l’on choisissait clairement, à chaque fois, l’attaque de son protagoniste (le système de FF 10 était vraiment proche de la perfection). Nos vieilles chimères sont passées à la trappe...
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Note finale : 14/20
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