Musiques agressives et entraînantes vous pousseront à appuyer sur la pédale d'accélérateur. Ici, aucune limite, La Ville est à vous et vous pouvez vaquer où bon vous semble au volant de bolides impressionnants et quasiment tous personnalisables.
Scénario / histoire
C'est simple, il n'y en a presque pas, on affronte des rivaux afin de gagner argent et voitures luxueuses. Un écran de statistiques est disponible pour savoir où l'on en est dans la carrière puis dans le jeu en général.
Jouabilité
L'un des principaux défauts de ce jeu réside dans l'instabilité de certaines voitures, je m'explique, par moments au moindre choc, notre auto s'envole à 3 km ou dans un mur, ce qui fait que si on est premier, on passe illico dernier et c'est très énervant. Ici, les courses ne sont pas sous forme de circuit mais de tracé à travers une ville donnée. On aura trois villes au choix déblocables au fil du jeu (Atlanta, Détroit, San Diego). Je ne suis pas trop fan du système de checkpoint qui consiste...
Un bon jeu de détente où le but est principalement de détruire tous les véhicules des concurrents. Très bon graphiquement, il souffre cependant d'un manque frustrant pour les connaisseurs de la série : le mode Crash. Cela réduit énormément sa qualité pour ma part, mais si vous faites vos premiers pas dans cette saga, cela ne devrait pas trop vous déranger. Parmi les différents modes de course, on note le Road Rage qui consiste à envoyer valser ses adversaires dans le décor, le Déjanté qui lui, nous pousse à devenir un chauffard et rouler en contresens pour marquer des points, et bien d'autres
Scénario / histoire
Le fait de tout détruire et de faire se crasher ses adversaires les uns après les autres (takedown) est bien décontractant ! Sinon il n'y a aucune histoire, mais ce n'est pas gênant. Quand on commence à obtenir de bonnes voitures (ce qui vient assez vite), la sensation de vitesse est extrême et très saisissante.
Jouabilité
Au niveau de la jouabilité, ce que je n'aime pas, c'est que l'on ne peut pas modifier la configuration des touches de la manette. Il n'y a que deux configurations possibles et elles...
Votre loi ne changera rien, ne vous leurrez pas, ceux que vous appelez des pirates ne se contentent pas de télécharger, ils achètent également, donc votre loi ne changera rien à leurs habitudes d’achats, ils limiteront juste leurs téléchargements… mais n’achèteront pas plus que maintenant, déjà dans le but de vous montrez que vous avez tort mais également dans celui que tout est trop cher. Il suffira d’attendre que les films passent à la télé, que la musique passe à la radio, en gros on régressera.
Ce n’est donc pas grâce à cette loi que vous ferez gagner plus d’argent à ces artistes soi-disant piratés, pour votre info, ils ne le sont pas plus qu’avant, je vous rappelle qu’avant internet, pour la musique, il y avait la radio (qui est encore là), dont Skyrock qui diffuse un album dans sa quasi intégralité chaque semaine dans « planète rap » depuis une bonne décennie, et les cassettes audios se révèlent très utiles dans ce cas-là. Pour le cinéma, il y avait le magnétoscope aujourd’hui remplacé par les DVD enregistreur et autre box dotée d’un disque dur.
Les séries mettent tellement de temps à sortir en France qu’à chaque surf sur internet, on se risque à tomber sur un « spoiler », en gros un dévoilage des évènements principaux de la série, d’ailleurs Allociné donne des news et ces fameux « spoilers » sur des séries qui n’ont pas encore été diffusées en France, désolé mais c’est trop tentant, par contre vos VOD sont bien trop chers, et ça c’est pas tentant du tout, pendant que les amerloques regardent les nouvelles saisons à la télé sans payer de VOD, nous il faudrait qu’on paye ? Désolé, on n’est pas des pigeons... De toutes façons, certaines séries comme saint seiya (chapitre inferno et elysion) ou dollhouse ne verront peut-être pas le jour en France et ne sont même pas présente dans vos VOD, et s’il faut attendre 3 ou 4 ans pour ça comme pour le chapitre hadès de saint seiya (par exemple) c’est pas la peine… Et puis ne nous mentez pas, Les téléchargements de séries vous servent à faire des statistiques et calculer une certaine audience… Alors autant télécharger, tout de façon lorsqu’elles passeront à la télé, ce sera pareil on ne payera rien si ce n’est la redevance…
Comparons d’ailleurs cette redevance à un abonnement internet, c’est la même chose, on paye un droit pour utiliser un service (principalement de divertissement), mais c’est vous qui ne taxez pas suffisamment d’argent sur les abonnements internet, peut-être que c’est là que tout est à revoir, genre la distribution de ce que rapportent ces abonnements, il faudrait peut-être réserver un certain pourcentage pour les artistes…
Au final, pourquoi être contre Hadopi ? Et bien tout simplement parce que cette loi ne sert à rien si ce n’est à mettre toute la France en prison et renflouer généreusement les caisses de l’état…
Voici donc quelques idées simples pour la remplacer :
- Augmenter les abonnements internet (pas de manière abusive non plus) pour palier au téléchargement et ainsi rémunéré les auteurs selon le nombre de téléchargement de chacun (un auteur beaucoup téléchargé sera plus rémunéré qu’un auteur peu téléchargé, c’est logique non ?). Imaginez, multiplié par le nombre d’abonnés, le résultat que ça pourrait donner…
- Baissez l’ensemble des prix de 25%, et vous verrez que vous ferez bien plus d’argent… Le téléchargement illégal diminuera et les consommateurs achèteront bien plus.
Comme chaque année, la Croix-Rouge française met en place sa quête afin de récolter vos dons, alors soyez généreux, même le plus petit don sera le bienvenu.
Cette année est une grande année pour l’organisation humanitaire mondialement reconnue, puisqu’elle fête ses cent-cinquante ans d’existence, mais aussi parce qu’il y a du nouveau, grâce à la Webquête 2009, il vous est aujourd’hui possible de faire vos dons pas internet. Pour cela, vous pouvez créer une page de recueil de dons ou vous « blondizer » grâce aux modules disponibles sur le site officiel de la croix-rouge, n’hésitez pas à donner un petit peu de votre temps, ça peut aider.
Un maximum de petits dons ne sont pas ridicules, assemblés, ils peuvent offrir une grande aide…
Bienvenue dans l'horreur, au cœur du monde malsain de Silent Hill. Si l'on creuse un peu plus loin dans l'aventure, on découvrira un bon survival horror bien flippant malgré ses défauts. Défauts qu'il saura masquer par quelques grandes qualités... tels les environnements choisis (hopital, métro...) par exemple.
Scénario / histoire
Une histoire où il vaut mieux ne pas être claustrophobe, car l'on débute dans l'appartement glauque du héros, mais on y est enfermé à double tour si l'on puisse dire. Premier défaut peu gênant, ce héros n'est pas très charismatique, il est trop vide. Malgré tout, l'étrangeté des différents mondes que l'on parcourra nous attirera tout en nous effrayant. Certains étant mieux réussi que d’autres, on se plaira à s’y faire peur et à y errer plus longtemps que dans les autres.
Jouabilité
Le personnage a parfois le pas un peu lourd, et la configuration des touches et menus manque d'intuition. Pour passer de notre appartement aux différents mondes, on doit emprunter des sortes de tunnels, chose assez originale. Mais pour sauvegarder on est obligé de revenir à notre appart par ces trous, détail un peu encombrant mais tout à fait logique, car c'est un peu notre lieu de sécurité. Les scènes d'exploration à la première personne sont agréables, elles font un peu enquête et quelquefois nous mettent dans la peau d'un voyeur mais sans obscénité rassurez-vous. La caméra, quant à elle...
Voici une image de Red Dead Redemption, pourquoi je viens à vous parler de ce jeu ? Et bien, déjà parce que beaucoup de critiques le compare à GTA dans le fait que ce serait un jeu "bac à sable" où notre personnage se déplacera non pas dans une ville genre New York mais un far west du début du siècle, mais aussi parce que c'est Rockstar qui est derrière ce jeu... Donc d'après cette image un peu pauvre en détails, on peut imaginer la possibilité de recruter des mercenaires et ainsi, à l'instar des gangs de sans andreas, se déplacer en meute, et pourquoi pas, imaginer des guerres de territoires au far west, à dos de cheval... après ce n'est que mon imagination et ce que je ressort de cette image... On note également le ciel orangé qui présage un cycle jour/nuit, certes déjà annoncé, mais aparemment de bonne qualité.
Suite du grand Final Fantasy X, cet épisode nous plonge dans une ambiance J-Pop et « girl power » qui ne sera pas du goût de tout le monde. Mais cet épisode à l’ambiance fun, se plaçant à part de ses prédécesseurs, nous raconte une belle histoire à la fois drôle et émouvante.
Scénario / histoire
Notre équipe est formée seulement de trois héroïnes, Yuna et Rikku ainsi qu’une nouvelle (Paine) – j’aurais préféré Lulu à la place mais bon... Tout se passe deux ans après la fin de FF-10, Yuna part à la recherche de Tidus… On croise beaucoup de têtes connues du premier épisode ainsi que la plupart des environnements parfois vus sous de nouveaux angles.
Jouabilité
Le jeu est découpé en missions dont chacune vous permet de compléter un peu plus le pourcentage total. On a accès à l’intégralité de la carte dès le début, ce qui est plaisant. Dans ce Final Fantasy, le système de combat fonctionne toujours au tour par tour, mais bien plus dynamique, avec la possibilité d’enchaîner des combos. Puis, en changeant de vétisphère (costume), on change de techniques et capacités (exemple : la tenue de mage noire permet d’utiliser uniquement les magies noires dans un premier temps puis d’autres compétences plus tard, et ainsi de suite), il en existe...
Ce qu’il faut savoir, c’est que ce jeu est une réadaptation de la version sur Gamecube et qu’il vient d’être encore réadapté sur Wii. Donc, on peut deviner que c’est un bon jeu, même un très bon jeu. Sinon pourquoi aurait-il été réadapté sur tant de consoles ?
Scénario / histoire
Bien différent des précédents épisodes. On incarne cependant deux personnages sortis d’opus antérieurs, Leon Kennedy (Resident Evil 2) et Ada Wong (R.E.1). Ici, on n'aura donc pas affaire à es hordes de zombies mais à des habitants infestés par une espèce de corps étranger au milieu d’un village complètement reculé de toute civilisation, enfin de toute civilisation « normale ».
Jouabilité
On trouve, dans cet épisode, beaucoup de changements et la jouabilité n’est pas épargnée. Ce n’est pas une mauvaise chose car les Resident Evil étant aussi connu pour leur prise en main difficile, on se ravira de ce choix qui donne un souffle neuf à la saga. La caméra se place désormais sur l’épaule de notre héros, nous nous approchons en fait des FPS sans en être un et c’est très bien (je n’aime pas les FPS donc si c’en était un je ne vous le conseillerais pas). Cette même caméra...
Ce Final Fantasy 3 (FF3) est un FF comme je les aime, il me rappelle les 7, 8 et 9 pour sa carte ouverte et ses cinématiques, et le X-2 pour son système de jobs comparable aux vétisphères. Il est remarquable, si ce n’est que certains jobs n’ont que peu d’action ou attaques qui les différencient des autres.
Scénario / histoire
Vous dirigez quatre gamins censés sauver le monde des ténèbres, c’est un scénario un peu classique pour un RPG (Role Playing Game/Jeu de Rôle). Donc, oui, vous n’aurez que quatre héros à gérer, c’est peu par rapport aux autres Final Fantasy. Je trouve que le scénario est bien moins immersif que tout autre FF sur PS2, ou peut-être que cela vient du support (de la DS).
Jouabilité
Dans ce Final, vous changez les capacités de vos personnages en changeant de « Job » (exemple : mage blanc, invokeur, chevalier de dragon…). Vous aurez le choix entre une vingtaine de jobs qui, par ailleurs, changeront également l’apparence de vos héros. Il y a une petite pointe de stratégie là-dedans, car en attribuant les bons jobs, vous pourrez créer une équipe dévastatrice. Une petite astuce pour finir, n’hésitez pas à donner le même job à plusieurs combattants pour certains Boss, ça peut-être décisif pour la victoire. Le système de gestion des PM (point de magie) est légèrement différent des autres FF ici. Déjà, vous pourrez les recharger qu’en vous reposant ou en utilisant un élixir. Ensuite, chaque attaque magique a le même coût (1 PM), que ce soit magies ou invocations, mais selon votre niveau, vous pourrez...
Ce dernier Final Fantasy (FF) en date, pourvu de graphismes toujours plus magnifiques, n’arrive pas à la cheville de ses prédécesseurs. Le changement radical de système de combat fait défaut, le scénario est plat et manque d’émotions et les cinématiques sont rares… Par contre, le bestiaire est très complet.
Scénario / histoire
Comme j’ai dit plus haut, le scénario manque d’émotions et on a du mal à s’y accrocher, contrairement à d’autres FF tels que le 10, dont l’histoire était très prenante. Peut-être est-ce dû à l’absence de Nobuo Uematsu, grand compositeur des musiques des précédents volets. Ici, les musiques sont moins intenses. Attention, je ne dis pas qu’elles sont mauvaises, car elles ont beaucoup de charme aussi.
Jouabilité
Le changement de système de combat n’est pas glorieux. On doit constamment modifier la configuration des personnages, et ça devient juste de la gestion plus que de l’action, parce que l’on peut très bien laisser les personnages se battre tout seul en gros. Honnêtement, je préférais largement le tour par tour, où l’action n’était pas confuse (car, dans FF 12, on a souvent tous nos personnages qui attaquent en même temps, et des fois, il y a une magie qui charge et qui charge… et on se fait sucrer 3 tours), et où l’on choisissait clairement, à chaque fois, l’attaque de son protagoniste (le système de FF 10 était vraiment proche de la perfection). Nos vieilles chimères sont passées à la trappe...
On arrive au dernier chapitre de la critique de DQMJ, déjà ce que l’on peut remarquer, c’est que l’aspect cell shading est assez agréable sans être du niveau de Dragon Quest 8 (PS2) pour vous donner un ordre de comparaison. Les décors sont assez variés même si l’on note beaucoup de vert, on pourra quand même se dépayser à travers désert, plages, montagnes, château… Comme la plupart des Dragon Quest, il y a ici un cycle jour/nuit qui remplace les monstres présents sur l’île ou vous êtes par de plus coriaces. Ces ennemis sont d’ailleurs visibles sur la carte comme dans Final Fantasy 12. On a la possibilité de nommer tous ses monstres pour ceux que ça intéresse et pour les autres, si vous n’avez pas trop d’idée, vous pourrez choisir un nom au hasard. La carte sur l’écran du bas n’est pas très pratique, il faut maintenir le stylet sur l’écran pour la déplacer, si on lâche elle revient automatiquement à sa place d’origine. Et pour ce qui est de la caméra, elle est à gérer soi-même avec les gâchettes. Ce qui est agreable aussi, c'est que l'on n'a pas tout à recomencer lorque l'on perd, ici pas de game over, on se voit juste amputé d'un peu d'argent (si l'on ne l'a pas mis à la banque), mais cela réduit tout de même la difficulté du jeu.
Passons maintenant aux quelques points négatifs, j’ai du mal avec la navigation entre les îles, je la trouve assez rébarbative par rapport à d’autres RPGs où l’on survole tout avec un vaisseau, ici il faut faire des détours, partir d’un embarcadère précis pour arriver où l’on veut… En gros les déplacements sont longs et fastidieux. En second mauvais point, la musique s’avère assez stressante et stridente pendant les combats surtout. Et enfin, un léger défaut, les monstres apparaissant sur la carte paraissent plus grands que ce qu’ils sont vraiment…
Les plus Nommer ses monstres
Les moins La carte La navigation par les embarcadères
Monster Joker offre entre 25 et 30 heures de jeu pour finir l'aventure principale, après pour les quêtes annexes, dont certaines consistent à collecter tous les monstres pour obtenir certaines récompenses, elles vous occuperont pas mal de temps, mais se révèleront tout de même peu nombreuses.
Pour ce qui est du monde et de son étendue, vous aurez une petite dizaine d’île à explorer, mais le petit truc désagréable, c’est que l'on voit dès le début du jeu la carte complète... On ne peut pas aller partout pour autant tout de suite mais il n’y a pas de surprise d'un monde qui devient plus vaste (genre comme ff3) à la moitié du jeu, donc le monde de Monster Joker se révèle un peu petit…
Venons en maintenant au meilleur, la synthèse, qui offre tellement de possibilités… Le bestiaire de DQMJ est tout simplement énorme et loufoque (comme à l’habitude de la saga), donc avec ça vous pouvez obtenir tout un tas de résultats originaux et parfois inattendus.
Le jeu est très facile à prendre en main, les menus sont simples, on a trois monstres à gérer et le dresseur qui peut s’apparenter à un joker, car il peut nous servir à lancer des objets de soins ou autres sur nos bêbêtes. Il est jouable soit entièrement aux touches, soit partiellement au stylet (vous ne pourrez pas déplacer le Héros), pour ma part j’ai choisi les touches, ça évite de jongler entre celles-ci et le stylet et c’est impeccable pour les gauchers. Les monstres sont visibles, on a donc la possibilité de les éviter et ainsi d’échapper aux combats.
Le plus intéressant réside dans la synthèse de monstres, véritable laboratoire de création, il vous suffira de posséder deux monstres de signes opposés (simplement nommés + et -) pour pouvoir les fusionner et obtenir ainsi un acolyte plus puissant. J’en profite pour donner ma petite astuce, lorsque vous effectuez une synthèse, le nouveau monstre commence au niveau 1, mais pas la peine de le placer sur le terrain pour le faire monter (ça pourrait s'avérer risqué à certains moments), il vous suffira de le placer dans vos remplaçants, et il évoluera tout seul…
Quand au système de combat, on peut dire que c’est du rpg classique, plus communément appelé « tour par tour », on a une ligne de 3 persos (ici des monstres) maximum avec le dresseur en arrière qui peut utiliser des objets en supplément des 3 actions par tour de vos bestioles (donc au total, vous pouvez lancer 4 actions par tour).
Pour les compétences, on a les classiques avec les sorts de soins plus ou moins puissants qui permettent de guérir l’équipe et lancer divers sorts de protections et autres, les spécialisées qui propose de lancer des sorts ciblés selon le monstre visé (ex : des sorts contre les monstres de la famille des dragons) et les plus simples qui offrent tout bonnement des bonus d’attaque, de pv, de défense, etc. au fur à mesure que votre niveau augmente (de ce coté-là ça ne monte pas vite du tout, ne vous attendez pas à faire évoluer un monstre jusqu’au level 99…). Généralement, elles sont attachées à un monstre, mais à la synthèse vous aurez le choix entre plusieurs compétences.
Les plus Système de combat simple et efficace Prise en main peu complexe
Le scénario est assez simpliste, l’objectif principal est de devenir suffisamment fort, en même temps c’est le but de chaque RPG, pour participer à un grand tournoi mais aussi remplir une mission secrète. Et si je dis simpliste, c’est que je trouve qu’au niveau des dialogues et des séquences non jouables, ce jeu est beaucoup moins fourni que ses homologues.
Dans ce Dragon Quest on ne dirigera qu’un seul Héros, un dresseur de monstre ressemblant à une espèce de super saiyen aux cheveux gris, normal c’est Akira Toriyama (Dragon Ball) le Chara Designer officiel de Dragon Quest. Ce dresseur aura à sa charge trois monstres que l’on recrutera au fur à mesure de l’aventure selon nos goûts et nos envies. On recevra nos ordres de missions d’un personnage ayant un peu de mal à s’exprimer… Ses dialogues sont remplis de fautes et en plus il mélange l’anglais et le français, au début je croyais que le jeu était bourré de fautes… J’ai failli le jeter par la fenêtre. Au cours de cette longue épopée, on croisera d’autres dresseurs que l’on pourra défier et tout un tas de personnages qui, souvent, sont identiques, mais soyons indulgents, ce n’est pas un grand FF sur console de salon, juste un jeu DS.
Les sauvegardes se font dans des espèces de refuges présents sur chaque île, ce qui est légèrement contraignant, parce qu’il faut toujours revenir à ces centres de dresseurs pour sauvegarder, et pour ce qui est des fichiers de saves, il nous est impossible d'en créer plusieurs pour une partie (impossible donc de sauvegarder sa partie en plusieurs points clés du jeu)
Les plus La touche Akira Toriyama
Les moins Peu de dialogues Devoir aller à un refuge pour sauvegarder Un seul fichier de save créable
Bienvenue, ce blog ne sera plus actualisé, vous pouvez dorénavant suivre mes articles sur Gam'ovore
Ce blog restera ouvert pour les contenus que je ne souhaite pas transférer sur Gam'ovore (Créations soul calibur 4, critiques de mangas, petits articles...), vous pourrez donc continuez à les consulter ici, par contre, pour les critiques et tout ce qui est nouveau contenu, ça se passe sur Gam'ovore.
