samedi 10 octobre 2009

Critique Music : Stomy Bugsy - Le Calibre qu'il te faut

Stomy Bugsy faisait partie du groupe Ministère Amer aux côtés de Passi, avec certains titres comme « Sacrifices de poulets » qui les ont conduits devant les tribunaux. On a donc affaire ici à un album de rap français « à l'ancienne », sorti en novembre 1996. Il faut aussi savoir que Stomy a un parler un peu agressif, après c’est du rap, et puis c’est ce qui fait le charme de l’album.

Cet album a un côté « old-school » et « underground » que n’a pas le suivant. Parmi ses 20 titres (dont 6 interludes), on découvre des perles comme « Derniers pas dans la mafia » avec Akhenaton et « Mes forces décuplent quand on m’inculpe ». D’ailleurs, une grande partie de l’album baigne dans une ambiance mafioso. D’autres titres sont plus légers comme « Mon papa à moi est un gangster ou « L’ouvrier », qui sonne très…

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vendredi 9 octobre 2009

Critique Manga : Saint Seiya Episode G Tome 13





Voici enfin la suite de combat d’Aiolia et Shaka contre le diabolique Japet ayant sacrifié son épouse Thémis pour augmenter la puissance de son cosmos. Avec toute la tristesse et la haine qui l’envahit, le titan Japet ne ressemble dorénavant plus à un dieu, mais plutôt à une bête furieuse, à « Diabolos » comme Shaka le nomme si bien.

Histoire ou thème

Comme je l’expliquais dans le premier paragraphe, ce tome 13 est une suite des plus directes au douzième, les tomes se suivent toujours, mais ce que je veux dire ici, c’est que le terme « suite » prend réellement tout son sens, car l’on est directement projeté de par l’interlude couleur dans le combat qui faisait rage entre Aiolia, Shaka et Japet.
Après cette introduction couleur, on prend tout de même le temps de découvrir un personnage quelque peu angélique avec de grandes ailes noires. Qui est-il, ça, on le saura dans ce tome, mais est-il du coté des chevaliers d’Athéna ou des titans, ça, ce sera sûrement dans le prochain volume.
Aiolia, dans son dur combat face à Japet, sera aidé d’une aura un peu similaire à celle dont bénéficie Seiya dans l’animé, j’essaye de mettre un peu de suspense, mais je pense que vous aurez compris.

Le genre

Ce manga nous raconte les aventures du passé des chevaliers d’or en prenant Aiolia en tant que Héros de ces péripéties. C’est évidemment Masami Kurumada, l’auteur originel de la série qui nous livre cette saga. Pour les illustrations, il a choisi les services de Megumu Okada, un dessinateur très doué, mais dont les clichés rendent bien mieux en couleur qu’en noir et blanc.
Il faut savoir que mes critiques de chaque tome se complètent en quelque sorte (je n’énumère pas les mêmes détails sur chacune pour éviter l’abus de ressemblance), alors n’hésitez pas à visiter les autres, car si vous en êtes ici, c’est que j’imagine vous êtes un fan du manga tout comme moi et que vous avez lu tous les anciens tomes.

Qualité de l'illustration

La couverture est magnifique, on peut y admirer Aiolia, les poings chargés de son « lightning bolt », Japet, le visage tourné vers le haut et Thémis avec le visage regardant vers le bas, logique puisqu’elle est partie vers le Tartare dans le tome précédent.
La première page intérieure nous permet de nous émerveiller sur l’armure du lion d’or, simplement dessiné sur fond noir, je trouve ça très classe.

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jeudi 8 octobre 2009

Critique Manga : Saint Seiya Episode G Tome 12




Le tome précédent se clôturait sur la fuite de Pontos face à l’alliance de nombreux chevaliers d’or ainsi que du grand Pope aux côtés d’Aiolia. Ce tome-ci s’ouvre sur Cronos, puis l’arrivée de deux Titans sur le champ de bataille venus combattre les guerriers d’Athéna.

Histoire ou thème

Aiolia se retrouve face à Japet et Thémis unissant leurs forces pour créer une attaque colossale nommée «planète». Il sera seul peu de temps, puisque c’est «le chevalier le plus proche d’un Dieu» qui viendra lui prêter main-forte. Ce volume traitera uniquement de ce grand combat, et même s’il y a quelques rebondissements, je trouve dommage qu’il ne soit pas plus varié et qu’on ne voie pas d’autres combats.

Le genre

Masami Kurumada dirige toujours l’écriture de la saga; Megumu Okada, lui, s’occupe de tout ce qui est illustration. Les dieux grecs apparaissent toujours autant mégalomanes dans ce tome que dans la saga en général; on a donc vraiment envie qu’ils se fassent remettre à leur place! Certains passages nous permettront un petit apprentissage de la mythologie grecque, comme celui qui nous narre l’histoire de Prométhée qui n’est autre que le fils de Japet et Thémis.

Qualité de l'illustration

L’interlude couleur nous montre dans ce volume un Cronos s’interrogeant sur son pouvoir et sa personne. On ne le sent pas si méchant que ça, mais rappelez-vous qu’il est encore amnésique; c’est là la raison de ses questions. Toute l’introduction baigne dans des tons violets; il faut croire que c’est la couleur des méchants dans Saint Seiya, car dans la saga Hadès, les armures des spectres brillaient également de ce mauve.

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mercredi 7 octobre 2009

Critique Manga : Saint Seiya Episode G Tome 11




À la fin du tome précédent, Aphrodite, chevalier des poissons, se trouvait en proie à un géant armé d’une énorme masse. Nous commençons ensuite notre lecture sur une énigmatique rencontre entre le grand Pope et un mystérieux personnage, puis s’ensuit la course d’Aiolia pour sauver Lithos.

Histoire ou thème

Après l’interlude couleur, on découvre alors le grand Pope recevant un protagoniste obscur et charismatique devant lequel il n’hésitera pas à s’incliner. "Pourquoi?" me direz-vous. Eh bien, je vous laisse le découvrir. Puis, on retrouvera le chevalier du signe des poissons qui fera du colosse son affaire. Aiolia, lui, continuera son avancée puis tombera face à face avec le combattant si ténébreux du début du livre, qui d’ailleurs mettra un peu de temps à se présenter (quel malpoli!). Ah, enfin un nom! Vous croyiez que j’allais vous le dévoiler? Eh bien, non; il vous faudra lire le tome numéro 11 pour le savoir, car moi je n’en dirais rien. Puis, j’en ai déjà trop dit!

Le genre

Qui dit manga dit lecture à la japonaise; donc pour nous, petits Européens, le sens de lecture inversé (on commence par la «fin» du livre et on lit les cases de droite à gauche), c’est un peu étrange pour les non-habitués de cet univers. Mais on s’y accoutume assez vite; d’ailleurs, pour ma part, je me surprends quelquefois à lire les magazines en commençant par la fin… L’Épisode G est écrit par le talentueux Masami Kurumada qui n’est autre que le papa de la série depuis le début, donc un auteur qui connaît parfaitement la saga Saint Seiya. La série est assez médiévale tout en se passant à notre époque (mais ça ne se voit pas tellement dans l’épisode G). Cette saga retrace le passé des chevaliers d’or; d’ailleurs le «G» de l’Épisode G, c’est tout simplement pour «Gold».

Qualité de l'illustration

Une couverture très rosâtre, normale, puisqu’elle a pour thème Aphrodite du poisson et ses attaques basées sur les douces roses (les fleurs) qui peuvent être rouges, noires ou blanches, cette dernière étant la pire, il me semble... Aiolia est en premier plan comme à son habitude, en train de préparer son «Lightning Plasma » foudroyant. La première page représente Aiolia surplombé de l’énigmatique personnage. Ensuite, nous continuons avec Aphrodite puisqu’il est le thème de cet interlude. Celui-ci est alors convoqué par le grand Pope pour une mission secrète qui représente la scène précédant son arrivée aux côtés du chevalier du lion, mais le plus beau reste la frise, dans les tons rosés évidemment; elle émane une agréable douceur et pureté. Et pourtant, ce chevalier n’est pas si tendre…

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mardi 6 octobre 2009

critique cinéma : Atlantide




Réalisé par les studios Disney, ce film d’animation prend pour inspiration la légendaire cité engloutie, Atlantide. Doté de nombreux bonus comme les coulisses de doublages, un mini-documentaire sur les mythes de la cité perdue, ou encore les scènes coupées, ce DVD vaut vraiment le coup. Pour ma part, c’est vraiment l’histoire qui m’a attirée. Les dessins ne me font pas trop d’effet, je ne les trouve pas exceptionnels, seuls certains effets de lumière donnent un peu de magie au dessin animé.

Scénario

Qui n’a jamais entendu parler de cette cité perdue, disparue mystérieusement ? Elle est donc le sujet principal de ce dessin animé. Milo est un professeur bibliothécaire défendant des théories assez intéressantes, mais difficiles à croire. Il cherche à obtenir un budget de ses supérieurs pour engager des recherches, afin de découvrir Atlantide. Malheureusement, ils refusent, mais rien n’est perdu. Il fera la connaissance d’un vieil homme richissime, qui lui offrira le budget dont il avait tant besoin, et alors les recherches commencent. Milo connaîtra de nombreuses péripéties, le reste, je vous laisse le découvrir…

Jeu des acteurs

Les doublages des stars sont impressionnants. Entre autres, vous pourrez apprécier les voix de Jean Reno, Patrick Timsit, Mouss Diouf. Mais le meilleur reste Jean Reno, doublant un accro à la dynamite, avec une espèce de voix de mafioso italien, c’est une prouesse vocale !

Réalisation

Je ne suis pas spécialement fan des dessins, mais ça reste tout de même dans l'esprit de Disney, et après, ce n’est pas parce que je n’aime pas que vous n’aimerez pas ! On peut aussi remarquer les magnifiques effets de lumière qui embellissent le film et qui sauront émerveiller vos pupilles ou celles de vos petits. Seul petit détail qui m’a déplu, le Léviathan n’est pas censé ressembler à un homard géant mécanique, et ce n’est pas ma culture de « Final Fantasy » qui me fait dire ça, même s’il devrait plutôt ressembler à un gigantesque serpent de mer…

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vendredi 25 septembre 2009

NeoGaming

Bonjour à tous, le site Neogaming ouvre bientôt ses portes, d'ici moins de deux semaines vous pourrez explorer son contenu...

Je compte sur vous !
Rem

critique cinéma : Jumper





Voici un film qui met en scène le pouvoir de téléportation, un luxe qui nous rendrait bien service à tous, réduire un trajet de 8h ou plus à moins de dix secondes, on en rêverait tous ! Là où Jumper a le plus d’intérêt, c’est dans ses effets spéciaux et le fameux don, l’histoire est correcte, mais ce n’est pas elle qui fait le film.

Scénario

Tous les éléments sont posés dès l’introduction, on voit le héros (David Rice) se faire un petit pique-nique sur la tête du Sphinx puis il nous explique ses capacités. Comme quasiment dans tous les films de super héros, c’est par inadvertance et pour sauver sa peau que David découvre son pouvoir. C’est en faisant mauvais usage qu’il finit par se faire remarquer par une organisation décidée à supprimer tous ceux étant comme lui, on les appelle, ou plutôt les Jumpers les appelle les « Paladins ». Le suspense n’est pas colossal puisque la première confrontation arrive peu de temps après le début du film.

Jeu des acteurs

Dans ce film, il y a vraiment trois personnages importants, David Rice évidemment, qui n’est autre que le héros du film basculant un peu du côté obscur, ça doit lui coller à la peau puisque son interprète est Hayden Christensen qui a joué notamment le très connu Anakin Skywalker (Star Wars). Samuel Jackson jouera le grand méchant Roland avec des cheveux tout blancs, je ne saurais dire si ça lui va ou pas… Et enfin, Jamie Bell sera un autre Jumper pas très sociable, profitant de son talent pour se fournir à l’œil en jeux vidéo, matériel Hi-Tech et autres choses utiles ou pas.

Réalisation

Les effets des téléportations sont tout simplement explosifs, on ressent vraiment la puissance qui se dégage de chacune d’elles grâce aux bruitages déjà, mais aussi avec les différents bris de pierre et autres trombes d’eau qui accompagnent souvent les Jumpers lorsqu’ils utilisent leur don. On devine aussi par moment les portails qu’ils créent pour se téléporter sous un aspect cristallin, franchement c’est vraiment superbe, on voit qu’il y a eu un vrai travail et tout est très détaillé. Les plans du début et ceux des combats entre deux Jumpers sont impressionnants, on les voit traverser moult régions et paysages différents si rapidement que ça donne le tournis…

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jeudi 24 septembre 2009

critique cinéma : Chouchou




« Chouchou » est tout de même un bon divertissement pour toute la famille, une comédie qui se laisse regarder. Gad Elmaleh apporte bien sûr beaucoup au film, sans sa présence et ses multiples gags, je ne pense pas que le film aurait eu ce succès. Le point que j’ai apprécié aussi, c’est la présence de Julien Courbey, pas le présentateur de TF1, non, le jeune acteur aux grandes oreilles qui a joué entre autres aux cotés de Jamel Debbouze dans « Le Ciel, les oiseaux et… ta mère ».

Scénario

Ce n’est pas le genre de film que j’apprécie le plus, mais bon. On découvre le personnage principal déguisé en Péruvien et utilisant le motif de la dictature afin de trouver un refuge. Il sera finalement hébergé dans une église par un homme bon, le père Léon. On ne mettra pas longtemps à comprendre que Chouchou est en fait une drag-queen, je ne sais pas si c’est le terme exact, en gros c’est un mec qui aime se déguiser en femme. Le truc c’est que le film comporte plusieurs gags très drôles.

Jeu des acteurs

Le rôle principal est joué par Gad Elmaleh qui est hilarant grâce à son talent inimitable de jongler avec les mots (le choix d’homonymes placés au bon moment, mélange des sens des mots… je ne sais pas si c’est très clair, mais voilà). On retrouve également le grand monsieur Claude Brasseur dans le rôle d’un homme d’Église, Roschdy Zem jouant un peu son apprenti, recueilli alors qu’il était un délinquant. On notera aussi les apparitions très brèves de Michael Youn, puis plus prononcées de Julien Courbey (« Il était une fois dans l’Oued », « Le Ciel les oiseaux et… ta mère ») dans le rôle d’un jeune un peu perdu surnommé « Ikea » parce qu’il a la tête toute démontée à l’intérieur…

Réalisation

La réalisation est correcte, seul un détail me dérange et en tant que chrétien, je me permets de faire remarquer que le Père Jean a des réactions un peu mal choisies quand il voit la vierge Marie pouvant choquer certaines personnes. Mais on a un point positif que je souligne même si je ne suis pas spécialement fan de la Dame, c’est une espèce d’hommage à Diana (Lady Di) tout au long du film. Ça commence par une simple photo accrochée dans la chambre de Chouchou puis...

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mercredi 23 septembre 2009

critique cinéma : Hitman




Adaptation d’un jeu vidéo, Hitman nous offre un spectacle d’action remarquable. L’agent 47 est un genre de tueur à gages travaillant seul, il sera manipulé puis trahi. Si tous les différents éléments du film prenaient modèle sur la qualité du scénario, qui n’est certes pas explosif, il serait de meilleure facture.

Scénario

Le scénario n’est pas très complexe, mais bénéficie de quelques éléments qui font le charme du film, dont le côté agent secret et assassin de l’ombre. L’acteur principal incarne un tueur à gages trahi par ses employeurs qui devra survivre à plusieurs camps qui seront à ses trousses, une espèce de police russe et Interpol entre autres…

Jeu des acteurs

Ici, les acteurs ne nous font pas vraiment vibrer, pas de grandes prouesses, de nombreuses maladresses, notamment dans les répliques, donc là ça ne vient pas forcément des comédiens.
Dans le rôle principal, on retrouve Timothy Oliphant qui apporte malgré tout un peu de fragilité mixée à beaucoup de froideur, certes, les critiques négatives sur le choix de cet acteur furent nombreuses, mais je pense pas que le problème vienne de lui même si au premier abord, c’est vrai que j’aurais bien vu Jason Statham (le transporteur). Je trouve le doublage français (pour l’agent 47) vraiment plat, sans émotions, encore un point négatif qui réduit grandement le charisme du personnage.
On a tout de même droit à un bon petit casting, pour les fans de Prison Break, on retrouve Robert Knepper alias T-Bag, lui par contre est très bien doublé, avec un petit accent russe qui lui va à ravir, et pour les fans de Lost, c’est Henry Ian Cusick alias Desmond qui fera quelques apparitions.

Réalisation

La réalisation est loin de briller de perfection ou de quelque chose s’en rapprochant, et c’est vraiment de ce point que la qualité du film chute énormément. Je trouve les répliques plus qu’un peu maladroites, mal choisies ou mal placées, je ne sais pas il y a quelque chose qui me gêne et le doublage de l’agent 47 très plat, ne lui donnant aucune émotion, limite le faisant paraître invisible peut-être était-ce le but…

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mardi 22 septembre 2009

Critique Manga : Saint Seiya Episode G Tome 10




C’est seul qu’Aiolia, impulsif, se décide à affronter les titans en pénétrant dans leur antre. Mais il ne tardera pas à être rejoint par un chevalier à la beauté légendaire.
Les illustrations sont belles, mais trop souvent inégales d’un protagoniste à un autre, et puis Aoilia est toujours sur la couverture… Je veux bien que ce soit lui le héros, mais au bout de 10 tomes, il pourrait peut-être s’effacer un peu de temps en temps.

Histoire ou thème

Après une longue discussion entre les deux titans Hyperion et Océanos, on découvre un nouveau personnage à l’angélisme et à la douceur clairement illustre. Qui est-elle ? Nous le saurons sûrement plus tard.
Puis l’on revient quelques instants au grand combat entre Camus et Océanos. L’élément de ce dernier est l’eau, et la façon dont il la manipule est tout simplement déroutante. On reviendra ensuite à leur discussion où l’on pourra comprendre, le plan qu’il prévoit, dont Aiolia en est la principale cible. Le lion d’or se décidera d’ailleurs à donner l’assaut aux titans en solitaire.

Le genre

Les dessins sont toujours confus parfois, mais il y a un vrai contraste dans cette saga, car par moment ils sont vraiment très clairs et compréhensibles.
L’inspiration vient toujours de la mythologie grecque, avec les géants, les titans et Dieux, les lieux (le sanctuaire et le Chronos Laburinthos) …
Saint Seiya Épisode G est un manga et se lit donc à l’envers (par rapport à notre sens de lecture habituel en Europe).

Qualité de l'illustration

Sur la couverture est représentée Aiolia (encore et toujours) en pleine préparation de son « Lighting Plasma » avec les poings chargés d’un éclair. On peut voir tous les détails de son armure puisqu’il est dessiné en entier (de la tête aux pieds). Derrière lui, on devine facilement le visage de Camus, chevalier du Verseau entouré d’un aspect glacial.
Une fois le livre ouvert, c’est Aiolos et ses majestueuses ailes d’or du Sagitaire qui seconde le Lion d’or toujours au premier plan. On voit tout de suite que ce dernier est le personnage principal (un peu trop même) à son armure parée d’une brillance bien supérieure à celle de son grand frère.
Certaines illustrations manquent de détails (pour une fois c’est dans ce sens-là), en l’occurrence les visages tout noirs avec deux ronds blancs pour les yeux… Ce défaut apparait tout de même dans tous les tomes en étant plus ou moins inaperçu...

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lundi 21 septembre 2009

Critique Manga : Saint Seiya Episode G Tome 9




Voici le neuvième volet de l’épisode G, narrant le passé des Chevaliers d’Or. Ce volume se veut puissant, avec l’arrivée du Taureau, mais aussi glacial, avec celle de Camus et Océanos. Aiolia sera moins présent, car un peu ensanglanté et épuisé par tous les précédents combats qu’il a livrés, mais ce n’est pas un mal, cela nous permet de découvrir d’autres personnages.

Histoire ou thème

Cronos ayant abandonné son apparence de géant pour une enveloppe charnelle, c’est alors face à un dieu amnésique qu’Aiolia fera face dans ce tome. Eh oui, il n’a ni mémoire, ni armure, car il lui manque encore un élément afin de parfaire sa réincarnation. Le roi des titans sera protégé par 6 guerrières dévouées à leur maître, ça aurait été trop facile sinon. Aiolia commencera d’ailleurs à affronter l’une d’elles, Thémis, puis un grand chevalier fera son apparition pour aider le lion d’or alors qu’un autre Titan capable de créer des monstres de pierre s’interposera.

Le genre

Ce tome est un peu moins confus dans les illustrations que les précédents, mais il l’est toujours un peu quand même. C’est Masami Kurumada, le papa de Saint Seiya qui est à l’origine de l’Épisode G, à ses cotés, c’est un certain Megumu Okada qui s’occupera des dessins, très détaillés, je me répète, mais c’est en couleur que l’on voit la réelle qualité de son travail.

Qualité de l'illustration

Dans ce volume, l’introduction en couleur nous présente la célèbre complicité entre Aldébaran et Mu, respectivement chevaliers du Taureau et du Bélier. Ce qui frappe tout de suite l’œil en regardant la couverture, c’est la perte de charisme (visuel) d’Aldébaran, il est beaucoup moins impressionnant que dans l’animé où il ressemblait largement à une grosse brute, ici il paraît inoffensif et fait plus « beau gosse ».
Je trouve un combat remarquable, s’il était en couleur, il nous donnerait froid, c’est celui qui oppose Océanos au Verseau, la force de l’eau contre celle de la glace, on pourrait croire que Camus à l’avantage, mais ce n’est pas aussi simple…

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mardi 15 septembre 2009

Baisse d'activité du blog...

Bonjour à tous, désolé pour cette petite baisse d'activité du blog, je reviens de vacances, je vais donc m'y remettre, mais il n'y aura peut-être pas forcément une activité quotidienne...
En tout cas merci à tout ceux qui laissent des commentaires ainsi qu'à tous mes visiteurs !

vendredi 4 septembre 2009

Critique Manga : Saint Seiya Episode G Tome 8




Le tome 8 de Saint Seiya Épisode G reste fidèle aux autres dans ses bons côtés comme ses mauvais. La couverture et les pages couleur prennent ici comme sujet Canon, j’apprécie beaucoup. Les dessins sont toujours aussi confus, mais c’est à cause du noir et blanc en fait, car en couleur ils sont remarquables.

Histoire ou thème

Alors qu’Aiolia aide Shura à l’arctique de la mort, ils voient Cronos, le roi des titans, s’approcher du sanctuaire. Il ne reste que cinq chevaliers pour le protéger, Milo, Shaka, Aphrodite, Deathmask et Camus, mais nous allons en découvrir un sixième qui se cache en fait sous l’habit du grand pope.
Au fil des pages, on en apprendra un peu plus sur le passé d’Aiolia par l’intermédiaire de petits flashbacks.

Le genre

L’auteur de ce manga est le même que pour la série qui passait à la télé quand on était petit, Masami Kurumada. Megumu Okada travaille à ses côtés comme dessinateur, il est très talentueux, c’est sûr, mais il aurait fallu que le tome soit tout en couleur pour être moins confus. On a souvent du mal à comprendre ce qu’il se passe dans les combats.

Qualité de l'illustration

Ce que je note dans ce tome et qui diffère de la série animée, c’est la couleur de l’armure de Canon qui est dorée et donc ressemble trop à celles des chevaliers d’ors, dans le dessin animé, elle tendait plus vers l’orangée, ce qui était mieux je trouve, déjà pour le différencier des douze chevaliers du sanctuaire, mais aussi parce qu’il n’est tout simplement pas un chevalier d’or, mais des généraux de Poseidon. Un autre détail me gêne...

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jeudi 3 septembre 2009

Critique Music : Orishas - A Lo Cubano




Orishas fait partie d’un genre de musique quasi unique : le rap cubain. Parmi ces quatre membres, on trouve un certain Roldan, un grand chanteur que vous avez peut-être déjà entendu aux côtés de Kool Shen (NTM), Stomy Bugsy ou encore Rohff pour le magnifique « Zone Internationale ».

Venant tous les quatre de Cuba, on ne peut que s’imaginer un album empli de sonorités latines. Pour les fans d’« Un, dos, tres », la série télévisée, on peut préciser qu’un des rappeurs du groupe (Yotuel, il me semble) y a eu un rôle. Je ne sais si c’est un point positif, mais c’est toujours bon à savoir. Le CD compte 15 titres, dont certains sont assez marquants par leurs rythmes envoûtants comme...

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mercredi 2 septembre 2009

critique cinéma : Astérix & Obélix : Mission Cléopâtre




Ce film est à mon goût l’adaptation la plus réussie des aventures de nos Gaulois préférés. Le film est bourré de gags du début à la fin. Le DVD ne s’arrête cependant pas là, car vous pourrez encore rire à en avoir mal au ventre en parcourant les quelques bonus qu’il contient.

Scénario

Numérobis, un petit architecte égyptien, est choisi par la grande Cléopâtre pour construire un immense palais (destiné à César comme seconde résidence). Le seul petit souci, c’est qu’il n’a que trois mois pour le finir. Il fera alors appel à trois Gaulois qu’on connaît bien; j’ai nommé Astérix, Obélix, et bien sûr, Panoramix (sans lequel ils ne pourraient rien faire).

Jeu des acteurs

Le casting est tout simplement impressionnant de par le nombre de stars qu’il présente. Dans le rôle principal, Jamel Debbouze joue à merveille un Numérobis drôle à en pleurer. Ensuite, on s’ébahira devant la plantureuse Monica Bellucci en Cléopâtre (habillée de robes les unes plus sexy que les autres). On verra Alain Chabat (en César), les incontournables Depardieu et Clavier (en Obélix et Astérix), et Gérard Darmon (en méchant, jaloux de Numérobis). Et parmi les "guest stars" (stars invités, c’est ainsi qu’on dit chez nous je crois…), on apercevra la troupe des Robin des Bois (presqu’au complet), Bernard Farcy (le maladroit commissaire de la saga Taxi) dans le rôle du célèbre pirate malchanceux de la BD, et Mouss Diouf en pirate lui aussi (je vous laisse deviner quel rôle il a…). On verra aussi Noémie Lenoir, Jean Benguigui, Édouard Baer, Isabelle Nanty, Emma de Caunes, Dieudonné, et j’en passe…

Réalisation

La réalisation est énorme; on en ressentirait presque la chaleur de l’Égypte. Les décors sont vraiment somptueux: on pourra admirer les pyramides. On comprendra aussi comment le Sphinx a perdu son nez…

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mardi 1 septembre 2009

critique cinéma : Mafia Blues




Vous aimez les films de mafia ? Vous aimez aussi les comédies ? Alors, vous avez choisi le bon film, Mafia Blues est un mélange de genres très réussi, durant le film vous pourrez remarquer de nombreux clins d'œil à de grands films et vous aurez aussi l’occasion de vous tordre de rire sur la quantité de gags.

Scénario

Le scénario est simple, un mafioso (Robert De Niro) voit se réveiller en lui certains problèmes psychologiques, il va alors croiser la route d’un docteur justement spécialisé dans ce domaine. La rencontre ne sera alors pas oubliée par les mafiosos, et le docteur ayant donné sa carte pour payer les frais de réparations du véhicule endommagé se verra contacter pour tout autre chose…

Jeu des acteurs

Robert De Niro dans un rôle de mafioso, vous allez me dire encore, mais là la différence est qu’il joue un mafieux en pleine dépression nerveuse. C’est un jeu d’acteur parfait, surtout dans les mimiques, j’adore. Ensuite, vous aurez droit à Billy Cristal dans le rôle d’un psychiatre essayant de garder son calme, mais avec un patient comme Paul Vitti (Robert De Niro), il n’arrivera pas à tenir pendant toute la durée du film. Vous pourrez aussi apercevoir Lisa Kudrow dans un rôle de blonde de service tout aussi inutile que dans Friends, ainsi que Joe Viterelli (qui a pour ma part réellement la tête de l’emploi) et Chazz Palminteri.

Réalisation

Cette comédie n’est pas comme toutes les autres, le réalisateur a su marier avec subtilité l’univers noir de la mafia à celui du rire…

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lundi 31 août 2009

Critique Manga : Saint Seiya Episode G Tome 7




Encore un magnifique tome basé sur les titans et la résurrection de chacun de leurs membres. Les voici donc au complet face à Aiolia et ses alliés. C’est le chevalier du Capricorne qui est mis en valeur dans les premières pages couleur et sur la couverture. Si vous voulez plus de détails sur la saga « épisode G », n’hésitez pas à visiter mon avis sur le tome 6 qui est le plus complet.

Histoire ou thème

Le tome s’ouvre sur les Titans cette fois-ci, en pleine discussion autour de leur palais qui vient de réapparaître. Il est d’ailleurs beaucoup tourné sur les Titans, de quoi en apprendre plus sur eux. On retrouvera aussi Milo (scorpion) face au grand Hector. Au fil de notre lecture, on tombera sur des pages doubles représentant remarquablement pour certaines les chevaliers de bronze et pour d’autres les Titans au grand complet. C’est très intéressant pour admirer et mettre un nom sur les différents chevaliers. On pourra de ce fait noter la présence de nombreuses femmes parmi les Titans. Les chevaliers féminins étaient peu nombreux dans la série jusque-là.

Le genre

Saint Seiya Épisode G est un manga qui marie plusieurs genres. La mythologie grecque est omniprésente et c’est quelque chose que j’aime beaucoup et c’est grâce à Saint Seiya que je me suis découvert une passion pour celle-ci, tout petit. On pourrait également décrire son genre de médiéval, chevaleresque, moyenâgeux, car ses protagonistes sont des chevaliers vêtus d’armures toutes plus belles les unes que les autres, des dieux, des déesses et aussi des serviteurs. L’auteur n’est autre que Masami Kurumada, le papa de cette belle série.

Qualité de l'illustration

Très belle couverture encore une fois, et ici c’est Shura (chevalier du Capricorne) qui s’affiche aux cotés d’Aiolia (toujours au centre, normal c’est le personnage principal). Dans l’arrière-plan, près de la main de Shura qui est d’ailleurs en position d’attaque, est représenté son coup le plus connu, l’épée tranchante...

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vendredi 28 août 2009

Critique Manga : Saint Seiya Episode G Tome 6




L’alliance d’un auteur nous ayant fait rêver étant petit et d’un dessinateur au talent impressionnant, permet de faire renaître nos valeureux chevaliers d’Athéna, avec un petit coup de jeune, car cette saga se déroule quelques années avant la bataille du sanctuaire. Le tome 6 s’ouvre sur 8 pages en couleur, comme à son habitude, mais ici, on a plutôt droit à un début faisant croire à une tragédie qui finit en pitrerie…

Histoire ou thème

Revoici la série mythique qui a bercé notre enfance à nous qui avons maintenant entre 25 et 30 ans, plus connue en France sous le nom des « chevaliers du zodiaque ». À savoir que ce n’est pas vraiment la suite de la série animée, mais plutôt les origines. En fait, l’histoire se déroule quelques années avant la bataille du sanctuaire de Seiya et ses amis, et ici, le personnage principal est Aiolia, le chevalier du lion. Et toute la saga Épisode G sera axée sur les chevaliers d’or dans un long combat contre les Titans. À savoir que Saint Seiya est inspiré de la mythologie grecque en grande partie, et c’est cela qui donne à cette série un charme énorme selon moi. Après une petite touche d’humour dans les premières pages joliment mises en couleurs, on découvre un Aiolia assez énervé et près à en découdre avec le titan Coes.

Le genre

C’est un manga, donc, le sens de lecture est différent (on commence par la « fin » du livre pour nous, et l’on lit les cases de droite à gauche). C’est un peu étrange quand l’on débute dans cet univers, mais l’habitude vient très vite. L’œuvre est écrite par le grand Masami Kurumada. On garde donc le même auteur que pour le dessin animé. On pourrait classer Saint Seiya dans un genre médiéval (chevalier, armures, temples…). On se retrouve alors plongé dans la Grèce antique, avec sa mythologie, ses dieux et ses armures, faisant référence à un signe astrologique (pour les chevaliers d’or).

Qualité de l'illustration

La couverture est toujours magnifique, et nous offre un très bel « artwork » sur fond étoilé. Pour ce tome, on a droit à Aiolia dans son armure dorée du lion très lumineuse et éclatante, et Milo le chevalier du scorpion en second plan, lui, plus terne. Dans ce manga, le « character designer » n’est pas le même que pour l’animé. Il s’appelle Megumu Okada. Ses personnages sont dessinés avec de grands yeux (typique des mangas !) et des cheveux longs aux couleurs parfois étonnantes. Le manga commence par 8 pages en couleur, qui souvent font référence à...

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jeudi 27 août 2009

Critique Music : Doc Gyneco - Première Consultation




Ah! J’étais jeune quand j’ai découvert Doc Gynéco… "Première Consultation" est l’album qui l’a révélé au grand public et son meilleur. À l’époque de sa sortie, il avait fait beaucoup de bruit: son rap était différent, calme et lisse; on pourrait appeler ça du "rap/variet" et ce monsieur était plus intéressé par les filles que toute autre chose… Malheureusement, cet artiste bénéficie d’une mauvaise réputation de "fumeur de shit" et autres orientations politiques dont il ne se cache pas et qui ne peuvent pas plaire à tous. S’il apparaissait sobre et plus transparent sur ses choix (on n’est pas aux États-Unis là, mais en France…), je pense que son talent serait bien plus reconnu.

Avant cet album, le Doc faisait partie, pas à part entière, du Ministère A.M.E.R. aux côtés de Passi et Stomy Bugsy. On pourrait le qualifier de personnage très porté sur la chose (d'ailleurs, rien qu’à son nom d’artiste, on peut s’interroger) sur des titres comme «Vanessa» ou «Viens voir le docteur» qui se définissent très chauds et provocateurs… Ce n’est pas une insulte, au contraire, je pense que c’est ce qui a donné tout son charme à cet album. C’est aussi grâce à ça qu’il a réussi à se faire connaître, mais il n’y a pas que des titres comme ça parmi les 14 présents. On en trouve des plus noirs et mélodieux comme "Nirvana", qui ne fait pas référence au célèbre groupe de rock, mais bien au paradis, au septième ciel. Dans d’autres, comme «Dans ma rue» qui se veut assez emblématique, il parle de son quartier sur des sons assez proches de ceux du rap américain. En cherchant un peu plus loin, on tombe sur «Né ici» qui sent bon les îles d’où il vient, les Antilles (il me semble); d’ailleurs, si vous appréciez cette chanson, je vous conseille vivement le double album live du Secteur Ä (collectif qui regroupe Le Doc, Stomy, Passi, Neg’ Marrons, Janik et Ärsenik). Mais c’est surtout sa voix qui fait tout: elle est très...

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mercredi 26 août 2009

Critique Music : Doc Gyneco - Quality Street




« Quality Street » est le deuxième vrai album du Doc le plus célèbre du rap français sorti en avril 2001, « Liaisons dangereuses » étant plus une compilation qu’autre chose. On a là un CD plus zen et calme que son tout premier (première consultation) avec un Doc à la voix bien moins dynamique. Eh oui, après un excellent et mémorable premier opus qui lui a valu une entrée fracassante dans le monde du rap français, il nous en sort un second qui ne répond pas à nos attentes. Il ne rivalise pas du tout avec le premier et ne subvient pas à ce que l’on pouvait attendre.

Sur cet opus, ce sont surtout les sonorités qui sont agréables à l’oreille, toujours bien choisi, les rythmes sont légers et entraînants. La plupart des sons sont simplement orientés rap, reggae ou encore rap américain pour « Cousins » avec RZA et Cilvaringz, mais d’autres se démarquent en sonnant plus variété comme « Souveraine ».
13 titres sont présents sur cet album, et parmi ceux-ci, on retiendra « Trop jeune » avec Chiara Mastroianni, le son est simple, mais tellement bon, « Noirs et Blancs » et « Caramel » qui sont plus calmes et zen, « Rue Mazarine » qui est un peu plus dynamique, « J’sais pas remplir ma feuille d’impôts » et « La poudre aux yeux » qui est ma chanson préférée sur ce deuxième opus du Doc Gyneco, déjà pour son titre que je trouve poétique et puis...

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mardi 25 août 2009

Critique Manga : Saint Seiya Lost Canvas Tome 3




Voici le volume 3 des aventures des Chevaliers du Zodiaque qui précédèrent Seiya, Ikki, Mû, Saga et les autres Chevaliers de Bronze et d’Or. On y découvrira entre autres l’ancien chevalier des poissons. Si vous aimez Saint Seiya tout comme moi, je vous conseille vivement de vous mettre à la lecture de cette saga, haletante et intéressante, car l’on découvre que de nouveaux chevaliers (excepté Dohko et Shion). Sachez donc que les évènements narrés ici se déroulent avant l’épisode G (seulement pour situer dans le temps) et lors de la guerre sainte précédant celle du chapitre Hadès sorti récemment en Dessin Animé.

Histoire ou thème

Dans le tome 2, Tenma mourrait sous la puissance d’Alone. Yato et Yuzuriha partirent alors le chercher dans le monde des morts, mais ce ne sera pas facile. Un spectre, Fyodor de la Mandragore, leur barrera la route, ici commence le tome 3 ainsi qu’un combat difficile. Une fois notre lecture plus avancée, on découvrira Minos, « le grand marionnettiste », qui saccagera le sanctuaire accompagné de son armée constituée de quelques spectres. Mais il tombera sur un os, le chevalier des poissons à la froideur charismatique créera un parterre de roses les empêchant de passer.

Le genre

Masami Kurumada nous livre encore une magnifique saga de nos chevaliers favoris, même si les noms changent, ici les armures restent les mêmes, et j’ai hâte de découvrir les autres chevaliers d’or dans les prochains tomes. Les dessins sont fins et lisses, c’est une demoiselle s’appelant Shiori Teshirogi qui s’en occupe. Et d’ailleurs, elle laisse toujours un petit mot au début du livre sur les impressions qu’elle peut avoir sur son travail et la saga en plus général, ce qui nous rapproche un peu plus de la personne et la rend plus humaine, ça crée un petit lien entre elle et ses lecteurs... Enfin bref, je ne sais pas si c’est très clair, mais en tout cas j’apprécie le geste.

Qualité de l'illustration

Les illustrations sont toujours classes, légères et assez dépouillées (c’est un point positif ici). Je préfère cent fois plus les illustrations de Lost Canvas à celle de la saga Épisode G. La couverture nous montre les deux guerriers importants du tome, le chevalier des poissons, je ne vous dis pas son nom, ça laissera un tout petit peu de suspense et...

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lundi 24 août 2009

Critique Music : Tunisiano - Le regard des gens




Sorti en février 2008, « Le Regard des Gens » est un album vrai, parlant de sujets importants. Tunisiano est en quelque sorte le leader du groupe Sniper, c’est un rappeur engagé qui n’hésite pas à dire ce qu’il pense sur notre société, et c’est ça qui me plaît chez lui. On notera la présence d’Amel Bent qui habille plutôt bien les deux titres qu’elle partage avec Tunisiano.

Cet album en solo est le premier pour lui, et on peut sentir sur un morceau en particulier une certaine appréhension à laisser ses deux amis de Sniper pour partir seul, d’ailleurs c’est le titre du morceau « Solitude ». Après, pour ma part il y a 3 titres que j’aime beaucoup, « Répondez-moi » ou il se pose des questions sur l’humanité et le fonctionnement de notre société, « musique je t’haime », qui est une ode à la musique où il évoque ses bons cotés comme ses mauvais et « Le Regard des Gens », là tout est dans le titre, il raconte plusieurs petites histoires de gens simples, mais...

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vendredi 21 août 2009

Critique Series TV : Heroes Saison 1





Si vous aimez « X-Men », « Spiderman » ou tout autre type de super-héros, vous serez bluffé par « Heroes ». Dans cette série, les héros découvrent leur pouvoir « hors du commun » au fil des épisodes. Les personnages sont nombreux et avec de différents pouvoirs également et il faudra être très attentif pour ne rien perdre de la richesse et la complexité de la série.

Scénario

Sur les premières images, on découvre « Peter Petrelli » (l’un des héros) sur le bord du toit d’un immeuble, puis une voix off nous explique les possibilités psychiques pouvant exister chez certaines personnes. Chacun des héros va découvrir ses pouvoirs et apprendre à les dompter tout au long de cette première saison. Certains se trouveront des objectifs communs comme « sauver la pom-pom girl » ou empêcher un homme d’exploser afin de sauver le monde… Tandis que d’autres se contenteront de chercher les différents héros afin d'absorber leurs pouvoirs, cette quête sera celle du grand méchant de la série qui mettra du temps à apparaître, mais c’est ce qui permettra de maintenir le suspense.

Jeu des acteurs

Ici, ce qui diffère d’un film de super-héros comme « Batman » ou « Spiderman », c’est que les personnages ignorent l’existence de leur pouvoir au début, puis ils évoluent avec. Ils n’ont pas de costumes, pas de maîtrise facile et parfaite de leurs dons, et c’est ça, qui les rend plus humains. Parmi tous ces héros, l’un d’eux sera capable de peindre l’avenir, mais en se shootant, pour lui l’évolution se démontrera quand il créera ses toiles prophétiques sans drogues. D’autres seront dotés de télékinésie, d’un pouvoir de « persuasion » plutôt bien trouvé, ou encore de voler (plutôt classique), de traverser les murs, d’une force surhumaine… Certains sont étranges comme « faire fondre le métal » et je cherche encore son intérêt.
Les personnages sont plutôt attachants, et étant nombreux, je suis sûr que vous vous trouverez...

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jeudi 20 août 2009

Critique Music : Soprano - Puisqu'il faut vivre





Soprano est un très bon artiste au sein du rap français; mais comme souvent, le problème ne vient pas de lui, mais des radios qui diffusent trop les morceaux. Donc, dans mon cas, j’apprécie beaucoup moins ses chansons maintenant que quand j’ai acheté son album. Heureusement, tous les titres n’ont pas été des singles, et c’est dedans que se trouvent les perles du CD. Si vous avez apprécié les "Psy 4 De La Rime", vous aimerez Soprano qui en fait partie.

Il y a de nombreux titres appréciables sur ce disque (17 titres au total), comme «Mélancolique Anonyme» (titre plutôt bien trouvé), «Bombe humaine» (qui parle des martyrs qui font les attentats suicides), «Dans ma tête», «Moi j’ai pas» (qui peut montrer le talent comme le côté excessif de certaines personnes), «La famille» (où il nous parle de l’importance de la famille justement) et «Puisqu’il faut vivre». Mais mon préféré reste «Tant que Dieu», tant au niveau du son que des paroles: ce titre est...

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mercredi 19 août 2009

Critique cinema : I Robot



Un film futuriste où les robots sont au service de l’homme, un peu comme des esclaves, mais la révolte ne tardera pas et Will Smith jouera le rôle d’un inspecteur très motivé pour les arrêter… Le film date de 2004 et pourtant les effets spéciaux sont toujours aussi impressionnants que ceux de films sortis plusieurs années après « I, Robot ».

Scénario

On est en 2035, l’inspecteur Spooner (Will Smith) est un bon flic, mais il éprouve une certaine animosité envers ces robots qui font partie du quotidien de chacun. Chaque personne a son robot, qui l’aide à diverses tâches rébarbatives comme faire et porter les courses, promener les chiens, faire à manger, faire la vaisselle… Malheureusement, Spooner est seul à éprouver cette « paranoïa » envers ces robots. Ce sera la mort d’un de ses amis et créateur de la robotique qui déclenchera une enquête intense et pleine d’action menée par un inspecteur très obstiné.

Jeu des acteurs

Will Smith encore dans un rôle de flic, mais cela lui va si bien, rappelez-vous les deux Bad Boys. Là, la différence est que l’aventure se passe dans un futur pas si lointain que ça et que les suspects sont des robots dotés d’une intelligence artificielle impressionnante. On notera aussi la présence de Shia Labeouf qui devait sûrement faire ses débuts au cinéma. Pour citer les autres acteurs, Bridget Moynahan, Bruce Greenwood, James Comwell, Chi McBride et Alan Tudyk seront présents.

Réalisation

La réalisation des effets spéciaux est magistrale, on peut voir par moment des scènes d’action avec des centaines de robots. Le scénario est quasi sans faute et il nous amène à certaines réflexions sur l’évolution de notre technologie par exemple, et si un jour...

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mardi 4 août 2009

Critique Manga : Saint Seiya Lost Canvas Tome 2



Voici le Tome 2 des nouvelles aventures des chevaliers du zodiaque, le personnage principal étant toujours Tenma de Pégase, pas Seiya… Vous suivez ? Non ? Alors pour une meilleure compréhension, je vous conseille de lire mon avis sur le tome 1.

Histoire ou thème

Pour Tenma, l’aventure débute par un retour à son village natal. Accompagné de Sion et Dohko, il va découvrir un village transformé et complètement ravagé par Hadès qui s’est finalement bel et bien réincarné en ce monde. Mais le pire reste encore à venir… Plus loin dans notre lecture, on découvrira un autre chevalier de bronze auquel vous ne pensez sûrement pas…

Le genre

Toujours édité chez Kurokawa, le livre se lit à l’envers et de droite à gauche, je le précise, car il n’y a aucune explication sur ce sens de lecture contrairement à l’épisode G. Le genre du manga est plutôt orienté médiéval pour l’époque et les armures et mythologie grecque pour les noms des armures et les personnages, alors si vous aimez les histoires de chevaliers il est fait pour vous, et le mélange est plutôt réussi.

Qualité de l'illustration

Shiori Teshirogi nous réalise un second tome remarquable, dans le premier on avait de très beaux dessins mettant en valeur les Gold Saints au cours d’un changement de chapitre, et bien ici ce sont les spectres qui sont représentés en détail sur deux pages. Tous plus mystérieux les uns des autres en cachant leurs yeux avec leurs mèches de cheveux (à la Eaque de Garuda si vous avez vu l’animé), on arrive tout de même à en reconnaitre certains comme Charon, Garuda justement ou encore le grand Wywern…

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lundi 3 août 2009

Critique Series TV : Lost Saison 2



Qu’y a-t-il sous cette mystérieuse trappe ?
Que sont devenus Walt, Michael, Sawyer et Jin ?
Ce sont quelques-unes des grandes questions que l’on se pose à la fin de la première saison et quelques réponses se trouvent dans cette deuxième saison, tout aussi bourrée de révélations. Mais il restera encore de nombreuses énigmes, ne vous en faites pas. Je conseille réellement Lost, c’est une série tellement énorme et impressionnante…

Scénario

La saison 2 de Lost s’ouvre un peu de la même manière que la saison 1, c'est-à-dire sur un œil qui est ici celui de Desmond, l’habitant de la fameuse trappe ouverte à la fin de la précédente saison.
En plus de ce nouveau protagoniste, on en découvrira d’autres qui sont en fait les survivants de la queue de l’avion.
Puis, à partir de l’épisode 11, jack, Locke, Sawyer et Kate rencontreront « les Autres » et la série gagnera énormément en dynamisme et en action. L’intrigue en deviendra aussi plus intéressante, mais je n’en dis pas plus, à vous de découvrir les mystères de Lost…

Jeu des acteurs

Parmi les personnages intéressants et touchants, on pourra citer Rose qui nous donnera un grand moment d’émotion, mais elle s’effacera assez vite, un peu comme dans la première saison, dommage.
Les personnages devront faire face à leurs démons intérieurs (Charlie et sa drogue, Hurley et sa bouffe…), vous découvrirez donc leur volonté ou non à lutter contre ces pulsions néfastes.

Réalisation

On commence cette deuxième saison de Lost les oreilles envahies de bonnes ondes sur un son de « The Mamas and Papas », ce qui me donne envie de vous dire que ces sons assez vieux font le charme de la série. Les musiques sont toujours bien choisies et c’est un régal.
Dans les bonus, on trouve un grand nombre de scènes coupées, il aurait été intéressant de pouvoir les intégrer...

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vendredi 31 juillet 2009

Critique Manga : Saint Seiya Lost Canvas Tome 1




Après le succès de l’épisode G, voici un nouveau manga retraçant les aventures de nos chevaliers adorés, une saga épique nommée « Lost Canvas ». Pour les personnages, du côté des « Bronzes », on ne note aucune tête connue, mais de fortes ressemblances avec ceux que l’on connaît bien dans les pages 4 et 5. Du côté des « Gold Saints », « Dohko » (balance) et « Shion » (bélier) seront très présents, et l’on entre apercevra les 10 autres…

Histoire ou thème

Cette fois, le héros principal est un certain Chevalier Pégase. Non, ce n’est pas « Seiya », mais il lui ressemble beaucoup, il s’appelle « Tenma ». L’histoire se passe lors de la première guerre sainte et met en scène les « Chevaliers d’Or » et les Spectres d’Hadès. On commence notre lecture par une brève action au temps présent, puis l’on revient en arrière pour découvrir l’évolution de nos héros, que ce soit « Tenma » pas encore chevalier, « Alone », son meilleur ami qui sombrera du côté obscur, ou encore « Sasha », qui deviendra une grande déesse...

Qualité de l'illustration

Pour cette saga, Masami Kurumada a fait appel à une femme, Shiori Teshirogi, très talentueuse. Les traits sont fins, les vignettes plus aérées, les armures suffisamment détaillées… Tout cela donne beaucoup moins de confusion, on arrive à comprendre et à lire facilement les dessins. Ici, pas de pages en couleurs, mais lors d’un changement de chapitre, on notera une forte accentuation des détails sur les illustrations. Par exemple, sur le début du troisième chapitre, où on découvre les Chevaliers d’Or, au grand complet. La couverture satinée et en couleur nous affiche...

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jeudi 30 juillet 2009

Critique Music : Rockin'Squat - Confession D'Un Enfant Du Siècle Vol. 1



Je ne sais pas si vous vous rappelez le groupe de rap Assassin… Rockin’Squat en est son leader. Pour cet artiste un peu «vieux de la vieille», son rap se veut conscient, car il nous parle de tout un tas de choses sur notre monde que la plupart des médias ne nous disent pas. Alors, si vous voulez apprendre et ne pas vous laisser guider par cette société pas toujours franche, je vous conseille son album. Cet album qui vient de paraître (septembre 2008) est le premier d’une trilogie en quelque sorte; deux autres volumes des «Confessions d’un enfant du siècle» verront le jour plus tard. Rockin’Squat mérite réellement d’être reconnu, ne serait-ce qu’un tout petit peu plus de diffusions à la radio, puisqu’actuellement il est royalement boudé par certaines grandes radios du rap dont je tairais le nom. Je ne demande pas que ses chansons soient assassinées par des passages bourratifs et limite en boucle sur les ondes, non, juste de la reconnaissance pour son travail et le savoir qu’il distribue. Pour éclairer un peu plus la question: mais qui est-il? Je peux vous dire qu’il n’est autre que le frère de Vincent Cassel et le leader d’Assassin.

Quelques artistes sont venus poser à ses côtés au gré de ces 17 titres, parmi lesquels on compte KRS One (le seul que je connais un tout petit peu…), Dlodum, Cheikh Tidiane Seck, Agallah The Don Bishop, Medine et Gimenez E. Pour parler des morceaux et ne citer que les meilleurs… «Instoppable» montre sa détermination...

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mercredi 29 juillet 2009

Critique Series TV : Lost Saison 1

Pour débuter ces nouvelles rubriques de critiques, je vous propose celle de la première saison de Lost, qui ,'est rien que moins que l'une de mes séries préférées.



Si vous voulez du suspense, du mystère, de l’émotion, vous avez cliqué au bon endroit. « Lost » vous fera effectivement ressentir tout ça. Il ne faut pas croire que c’est du Robinson Crusoé, d’accord la série met en scène des rescapés d’un crash sur une île déserte livrés à eux-mêmes, mais ce n’est pas une île comme les autres, elle est à la fois étrange et miraculeuse… Vous découvrirez tout cela par vous-même.

Scénario

Un avion s’écrase sur une île déserte, et c’est sur une scène de panique que l’on découvre tous les protagonistes, chacun ayant l’esprit occupé par mille questions. Ce qu’ils ne savent pas encore, c’est que leur avion avait dû faire marche arrière, et que les pilotes n’ont pas pu le signaler à qui que ce soit… Donc, personne ne sait où ils sont et les secours les cherchent au mauvais endroit. Ils se retrouvent donc prisonniers de cette île aux vertus mystérieuses pour une période indéterminée.

Jeu des acteurs

« Lost » n’est pas simplement une série regorgeant de nombreux mystères, c’est aussi une série remplie d’émotions. On est souvent au bord des larmes, généralement à la fin de chaque épisode, et c’est aussi grâce au jeu des acteurs, ils sont vraiment tous très bons. Par exemple, la relation entre Charlie et Claire est très touchante, on le sent vraiment dévoué pour elle et c’est ça qui est beau, en fait ça va plus loin qu’un simple amour. Ce ne sont pourtant pas mes personnages préférés, John Locke et Sawyer le sont, John pour sa détermination à comprendre l’île, et Sawyer pour son côté méchant qu’il assagira au fil des épisodes. J’apprécie aussi beaucoup...

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mardi 28 juillet 2009

Le blog change et évolue...

Ce changement était prévu depuis le début, mais étant donné que NeoGaming.fr m'ont proposé de travailler avec eux (une proposition que j'espérais en quelques sorte, mais que je ne pensais pas voir arriver si vite...) , il intervient plus tôt que prévu.

En quoi cette évolution va t-elle impacter le blog ? Et bien premièrement, et en prenant en compte les résultats du sondage (3 oui et 1 non), de nouvelles catégories de critiques vont faire leur apparition, entre autres les films et la musique.
Mais par contre le deuxièmement concerne la partie "jeu video" du blog, aujourd'hui elle occupe la quasi-totalité si ce n'est pour dire entière totalité du site, et bien demain, après cette évolution, cette partie sera beaucoup moins fournie et certains contenus disparaitrons (les critiques dans un premier temps), mais vous saurez sans doute où les retrouvez...
Enfin, troisièmement, une petite modification du nom du blog arrivera, cela se verra un peu plus adapté pour l'avenir du site.

Merci à tous de me lire.
Rem

lundi 27 juillet 2009

Soul Calibur IV Creation : Blanka (Street Fighter)




Assez simple à créer, voici Blanka de Street Fighter.

vendredi 24 juillet 2009

Soul Calibur IV Creation : Penelo (Final Fantasy XII)




Pour aujourd'hui, ce sera une petite création de la jolie Penelo de FF XII, avec ses petites ailes s'il vous plait (qui ne sont pas si petites dans soul calibur en fait...).

jeudi 23 juillet 2009

Soul Calibur IV Creation : Shao Kahn (Mortal Kombat)




Voilà une créa assez réussi (je trouve...) de Shao Kahn issu de l'univers de Mortal Kombat.

mercredi 22 juillet 2009

1 contre 100 : premières impressions



1 contre 100 venant de débarquer sur le Xbox live arcade, je me dois de vous faire part de ma première impression.

Le premier point qui incite tout le monde à y jouer, c’est sûrement la possibilité de gagner des Microsoft points et des jeux xbox live arcade et d’autres cadeaux bien plus gros, mais décortiquons un peu tout ça, j’ai participé à la soirée du 19 juillet qui était la première à proposer des lots et je n’ai rien gagné… Pourquoi ? Et bien il y avait plusieurs facteurs, déjà, la présence des comptes Silver, dont certaines rumeurs diraient qu’ils ont été favorisés (en étant candidat ou dans le mur) dans le but de les faire acheter des comptes Gold, c’est probable, mais il faut aussi se dire que leur présence a évidemment beaucoup influé sur le nombre total de joueurs (entre 17000 et 19000). Alors espérons que l’opération ne soit pas réitérée la semaine prochaine pour permettre à nous, les comptes Gold, d’avoir plus de chance de gagner.



Le deuxième facteur important est la probabilité de gagner, selon moi, il y a eu environ 1560 joueurs ayant eu le plaisir de gagner quelque chose ou d’être seulement sélectionné en candidat ou dans le mur, oui certains candidats sont un peu kamikazes et défient le mur jusqu’au bout, j’en ai compté 3 ou 4 qui ont perdu de 3000 à 5000 MSpoints . Comment j’en arrive à ce résultat ? Et bien dimanche, il y a eu une quinzaine de candidats (donc une quinzaine de manches), donc 15 murs (1500 personnes), et 3 gagnants par manches dans le public (15X3 = 45 personnes).

Donc au final, ça nous laisse à peu près une chance sur 12 (19000/1560) de gagner un lot ou d’être seulement sélectionné… Et encore c’est assez vague puisque sur les 1500 des murs, beaucoup se font éliminer totalement (quant à quantifier précisément, c’est impossible).
 

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